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De la pugnacité qui paye
Continuant mes investigations sur mon arrière grand-mère Francine BAROIN - qui ne semblait pas très appréciée dans la famille - j'ai trouvé que sa propre mère Anatoline BOIVILLE (née en 1851) était une enfant abandonnée. J'ai donc axé mes recherches sur les abandons au 19ème siècle (avec un tuto en perspective ).
Se pose alors une question qui me trottine dans la tête depuis pas mal de temps : comment devenir mère et/ou grand-mère lorsque l'on n'a aucune référence ? Qu'est-ce qu'une bonne "grand-mère" ? Comment cette aïeule a pu se construire sans repère ?
Si j'ai appris une chose en "généalogie", c'est qu'il faut investiguer et lire ! Lire beaucoup....ne rien lâcher et persévérer !
Vous vous souvenez, je vous ai déjà parlé de OneNote, et bien, toutes mes recherches y sont inscrites.... Je vous le recommande toujours !
IL faut toujours partir du "général" pour se rendre au "particulier". C'est ainsi que j'approfondis mes connaissances en matière "d'aide sociale" au 19ème siècle, en France, puis dans le Morvan ; pour mieux connaitre ma famille, je dois me documenter sur l'Histoire avec un grand "H" pour ensuite mieux comprendre ma famille.
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