Le mois de mars marque la fin de l'hiver, enfin ! Je ne suis pas de nature à souffrir de dépression saisonnière, mais j’avoue que cette année, le soleil et la chaleur m’ont beaucoup manquée : trop de vent, trop de pluie et d’humidité… C’en devenait déprimant !

Fort heureusement les beaux jours arrivent – enfin, pas tous les jours ! - et surtout, les journée s’allongent ; ce qui n’est pas négligeable ! Je peux désormais reprendre mes activités de jardinage, de botanique (un herbier numérique à finaliser), la marche en forêt entre deux averses, la photo… tout en continuant broderie et généalogie.

Outre les ateliers de généalogie que je continue à animer et qui ne cessent de « booster » ma généalogie, j’ai étudié quelques livres :

- L’ordre du jour d’Eric Vuillard, dont j’avais d’ailleurs apprécié le livre précédent 14 JUILLET, un récit historique qui m’a replongée dans les discours de Johan Chapoutot

- Jeanne l’Alsacienne, que je vous invite à lire, même si vous n’avez pas d’ancêtres alsaciens, mais pour la méthode de recherche très rigoureuse et pugnace de son auteure,

- L’abandon d’enfants qui m’a d’ailleurs beaucoup servi pour réaliser l’atelier relatifs aux abandons.

Certes, je ne pourrai pas me passer du numérique aujourd’hui, mais pourtant, lorsque je lis un livre – ou un document comme ceux cités précédemment – je me sens obligée de passer par l’écriture.

Même si le numérique est devenu indispensable dans de nombreux aspects de nos vies aujourd'hui, et notamment en généalogie, il m’est impossible de pratiquer cette passion sans recourir au papier et au crayon.

En tant qu'étude de la lignée et de l'histoire des familles, la généalogie nécessite souvent une approche méthodique et détaillée pour tracer les liens familiaux à travers les générations. Bien que les bases de données en ligne, les logiciels de généalogie et les archives numérisées facilitent la recherche et la collecte d'informations, il existe encore de nombreuses raisons pour lesquelles le papier et le crayon restent essentiels dans cette pratique.

Par exemple, prendre des notes manuscrites – avec des annotations, des flèches, des transcription - dessiner une branche en cours d’étude me permet de mieux visualiser et de comprendre les relations familiales de manière plus tangible et intuitive. Et puis, n’oublions pas que quelquefois, les pannes informatiques ne préviennent pas : mon papier et mon crayon, eux, sont toujours là !

Coucher sur le papier mes idées, m’aide toujours à mieux les agencer. Lorsque j’ai repris l’organisation du site de Généalogie d’une famille ordinaire, j’ai bien eu besoin d’écrire mon plan pour visualiser mes rubriques correctement.

Parlons-en de ce site, réactualisé durant le mois de mars ; il existe le blog – sur lequel vous êtes actuellement – et le site du même nom ; j’ai déjà expliqué dans un article précédent, la différence entre site et blog : Un blog ou un site web ?

Blog et site sont complémentaires ; je vais donc vous présenter le site, crée en 2018, pour partager mes connaissances au fil de mes recherches généalogiques.

Sur la page d’accueil, les thèmes principaux :

1. Mon arbre : 4 branches pour mes grands-parents, correspondant à 4 régions différentes de la France

2. Ma boite à outils – à perfectionner au fil du temps

   • Les généralités : glossaire, table de concordance, dictionnaires et autre documentation

   • Les groupes FB : des groupes incontournables à l’heure du numérique

   • Les répères géographiques : localisation, cartes, photos

   • Les métiers d’antan

   • La guerre 1870

   • La guerre 14-18

   • La guerre 39-45

   • Les repères historiques : chronologie, cartes postales

   • Ecrire l’histoire de sa famille

   • Les chaînes YouTube

3. Les ateliers et l’entr’aide

4. Les défis généalogiques : tous les challenges d’écriture sont répertoriés. Les défis généalogiques aident bien à booster votre généalogie.

5. et un lien vers ce blog.

Ce début de mois fut quelque peu étrange.

J’ai fait un bon de plusieurs centaines d’années, tout en restant dans le présent. Tout d’abord j’ai lu « Code 1879 », dont la 4ème de couverture m’a attirée puisqu’elle parlait d’une enquête policière avec l’aide un généalogiste ; j’ai passé un bon moment, même si la résolution de l’énigme me semble peu probable, ou du moins un peu tirée par les cheveux. J’ai eu toutefois le plaisir de voyager dans les bas-fonds de Londres, son métro et son FRC (Archives Nationales).

Ensuite je suis partie pour Edimbourg avec « Noël à la charmante librairie ».

Il paraît que certains genres de livres peuvent déclencher des réponses émotionnelles spécifiques. On peut dire que j’ai fait un deux en un ! Noël est la période que je préfère et bien sûr, j’aime les livres, les librairies. Lorsque j’étais adolescente – en ensuite adulte – je passais des heures dans les rayons de Gibert Jeune sur le Boul’ Mich. Mais ça, c’était avant….

Après Londres, voici donc la « vieille Écosse ».

Édimbourg, la capitale de l'Écosse, a une histoire riche de plusieurs des siècles. Ses rues pavées les plus anciennes remontent au Moyen Âge. Le développement de la ville médiévale a commencé à partir du château d'Édimbourg, qui domine la ville depuis la colline du château.

Victoria Street, par exemple, est une rue emblématique située dans le cœur de l’ancienne capitale écossaise. Elle est réputée pour son architecture colorée créant une atmosphère pittoresque et charmante. Les immeubles sont souvent peints de couleurs vives, ce qui contribue à l'esthétique unique de la rue. On raconte que cette rue aurait inspiré l'écrivaine J.K. Rowling lorsqu'elle créa le Chemin de Traverse, la célèbre rue commerçante de l'univers de Harry Potter.

La Grassmarket est une place historique qui remonte au XIVème siècle ; c’est une zone animée avec des pubs, des restaurants, des boutiques éclectiques. Et puis bien sûr, la très célèbre Royal Mile qui s'étend du château d'Édimbourg à l'abbaye de Holyroodhouse ; elle suit le tracé d'une ancienne route médiévale qui reliait le château au palais, bordée de bâtiments historiques aux façades fascinantes. Elle est très touristique et propose une multitude d'attractions, notamment le château d'Édimbourg, la Camera Obscura, le Musée d'Écosse, le Parlement écossais, et l'abbaye de Holyroodhouse.

Durant ce mois de février, je continue de travailler les tutos que je présente aux adhérents de SYNAPSE91 ; ils sont toujours étonnés par mes recherches, et pourtant je n’arrête pas de leur dire que ces tutos sont un moteur pour moi et qu’ils m’apportent autant qu’à eux, car bien évidemment, ils sont utiles pour mes propres investigations, mais surtout, ils me permettent de vérifier mes connaissances ; avec le partage, on apprend toujours des autres !… et aussi à se remettre en question !

On peut faire de la généalogie, côtoyer les Anciens, mais aussi rester dans le « vent ». Et ça, j’y tiens plus que tout ! Mon obsession perpétuelle est d’être dépasser et/ou de perdre mes acquis ; donc, je réactualise régulièrement le site, j’enrichis ma bibliothèque avec Zotero, j’apprends de nouveaux logiciels tel que « Inskape » ou « Darktable »…. mais les journées ne font que 24 heures !

Et quel doux moment, lorsque je commence un nouveau livre, un récit transgénérationnel. Mais je vous en parlerai plus tard, laissez-moi le temps de m’en imprégner.

A chaque fin d’année, la tradition est de réfléchir aux bonnes résolutions pour l’année suivante. Et par expérience, je sais que les bonnes résolutions ne sont jamais respectées et ne durent que quelques semaines, voire quelques jours !

Je pourrais utiliser la méthode OVNIS de Geneafinder :

• O pour Organiser, mais j’ai la réputation d’être une femme très organisée, trop souvent adepte des listes,

• V pour vérifier, mais là encore, j’ai par habitude de vérifier, par manque de confiance, en moi ou en les autres,

• N pour nettoyer… ah, là ça pêche : il faudrait que de nettoie mes fichiers sur ordinateur, car j’ai la fâcheuse habitude de tout garder… vous savez le « ça peut toujours servir »,

• I pour inventorier, aucun problème dans ce domaine,

• S pour sauvegarder, sur clé USB ou disque externe, ça je n’oublie pas : lorsque l’on fait l’erreur une fois, je vous assure que je m’en souviens encore !

J’ai plein de projets en tête, mais celui qui prime est d’écrire l’histoire familiale.

Si écrire l'histoire de sa famille est une belle entreprise qui peut aider à mieux se comprendre et surtout préserver l'héritage familial, il n’en demeure pas moins un exercice bien difficile.

La première question que je me suis posée : écrire l’histoire de ma « famille ordinaire » par génération ou par région ?

Lorsque j’ai une décision importante à prendre, je fais un tableau avec une colonne pour les « plus » et une colonne pour les « moins » ; ensuite je comptabilise.

Tout naturellement, j’en suis arrivée à la conclusion suivante : je vais combiner les deux.

J’ai quatre grands parents qui appartiennent à quatre régions de France.

Si je rédige mon histoire génération par génération, le plan est tout trouvé ; il suit inévitablement la structure de l’arbre généalogique ; je vais devoir énumérer les noms des ancêtres concernés, les dates de naissance et de décès, les mariages, les lieux de vie, les professions, et tout événement marquant de leur existence ; pour la génération suivante, je vais continuer en énumérant les enfants de la génération et ainsi de suite… je crains de me lasser et en m’appuyant sur des faits chronologiques, je risque de donner la sensation de faits répétitifs qui s’enchaînent.

Mais en rédigeant mon histoire par région où mes ancêtres ont vécu, je vais découvrir le contexte historique et culturel. Je vais pouvoir inclure des informations sur les mariages, les naissances, les métiers, les liens communautaires, les défis et les réalisations spécifiques à chaque endroit.

Ecrire l’histoire de ma « famille ordinaire » est avant tout une expérience ludique ; si la généalogie est d’abord un passe-temps – assez chronophage me direz-vous et qui s’en plaindra ! - elle doit surtout me procurer du plaisir, de la détente et une certaine satisfaction personnelle. Certes, c’est une activité qui nécessite du temps, de la patience et de la persévérance ; mais elle est essentiellement un hobby fascinant et enrichissant.

Donc, quatre livres pour quatre régions :

• l’Alsace et la famille Deiber

• la Bourgogne et la famille Beaujon

• les Landes et la famille Clave

• le Nord-Pas de Calais et la famille Herbez

Je vais utiliser ce blog pour soumettre mes écrits au fur et à mesure de l’avancée de mes recherches, passant d’un livre à l’autre.

J’ai déjà quelques textes qu’il me faut remettre en forme afin de redonner vie à mes ancêtres en décrivant si possible leurs traits de caractère, leurs aspirations, leurs succès, et bien évidemment les défis auxquels ils ont dû faire face ; ajouter beaucoup d’affect rendra le texte plus vivant, l'histoire plus authentique.

Pour les images, je vais incorporer des documents retrouvés dans les archives et/ou des photos glanées au cours de voyages généalogiques ; inévitablement, elles renforceront la crédibilité et l'impact émotionnel de l'histoire.

Voici donc un vaste programme qui devrait durer un certain nombre d’années…..

Reste à étoffer mon arbre quelque peu dépouillé.

Les différents challenges de généalogie sont un excellent moyen pour ajouter des ancêtres et booster ma généalogie ; mais je vais commencer cette année en recherchant le parcours des Poilus de mon arbre ; à la lecture de l’article du blog « Au cœur du passé » je voulais me lancer dans l’aventure du défi 52 semaines / 52 ancêtres, mais je n’ai pas le niveau pour écrire un article chaque semaine, et après recensement, je n’ai pas encore 52 Poilus….

Voilà donc une année encore bien remplie, sans compter tous les tutos que je dois rédiger et présenter lors des ateliers de SYNAPSE91.

En cette nouvelle année qui s'ouvre devant nous comme la page blanche d’un livre qui ne demande qu’à être rédigé, je tiens à vous adresser mes vœux les plus chaleureux. Que 2024 soit une année riche en découvertes généalogiques, en rencontres passionnantes et en moments de partage autour de vos histoires familiales.

Que vos recherches soient couronnées de succès, que vous dénichiez des trésors cachés dans les archives, et que chaque ancêtre retrouvé devienne une pierre précieuse ajoutée à l'édifice de votre arbre généalogique.

Puissiez-vous explorer avec curiosité les racines de votre histoire, tisser des liens toujours plus forts avec vos ancêtres et partager avec vos proches les anecdotes et les récits qui font la richesse de votre patrimoine familial.

Ensemble, continuons à cultiver la passion de la généalogie, à échanger nos expériences et à bâtir une communauté toujours plus unie et connectée.

Que cette année soit l'occasion de faire des découvertes exceptionnelles et de créer des souvenirs inoubliables. Qu’elle vous apporte – et à tous ceux que vous aimez - joie, émerveillement et satisfaction tout au long de ces douze mois à venir.

Je vous adresse mes vœux les plus sincères et vous souhaite une excellente année 2024 pleine de succès dans tout ce que vous entreprendrez.

Un coup de folie…. Ou de grande joie… en ce mois de décembre, il faut croire que mes pensées fugaces, mes rêves éphémères et mes démons intérieurs ont décidé de s’exprimer.

Après un Challenge AZ « douloureux » - et dans tous les sens du terme – j’ai enchaîné sur le « Calendrier de l’Avent Alsacien », encore un défi de taille. Peut-être que « janvier » sera plus calme, qui sait…

Chaque mot, chaque phrase, devient un cri de désespoir ou un murmure d'espoir, une tentative désespérée de saisir l'éphémère et de le figer dans la mémoire de l’ordinateur..

Écrire, c'est plonger la tête la première dans ses abîmes, sans garantie de retour. C'est s'aventurer dans les coins sombres et souvent ignorés de l'âme, là où résident les monstres et les anges déchus. C'est se confronter à l'incertitude, à l'inconfort, à la vérité crue qui refuse de se plier aux conventions.

La folie d'écrire, c’est une plongée délibérée dans l'incertitude, une confrontation avec les ombres de l'âme. Écrire, c'est se dévoiler sans pudeur – oh on va se calmer ! - laisser les failles à découvert, et trouver une étrange beauté dans l'imperfection. C'est surtout accepter le tumulte intérieur et trouver un semblant d'ordre dans le chaos des mots.

Aussi étranger que celui puisse être, soit c'est la page, soit c'est le délire des mots....

Ainsi, la folie d'écrire est un paradoxe. C'est un acte solitaire et collectif à la fois, un défi à soi-même et au monde qui nous entoure. C'est une exploration de l'inconnu, une danse avec l'obscurité intérieure, une célébration de la folie qui réside en chacun de nous. Et dans cette folie, peut-être, réside la clé pour déverrouiller les portes de la compréhension et de la vérité ultime.

En fin de compte, la folie d'écrire, c'est une quête profonde de compréhension de soi et de connexion avec les générations d'avant. C'est une manière d'honorer et de célébrer le passé, tout en contribuant à la préservation de l'héritage familial pour les générations à venir.

Depuis plusieurs semaines j’ai carrément la tête sous l’eau ; non, non, je ne parle pas du temps….

Mais de MON emploi du temps.

Tout d’abord les ateliers de généalogie numérique ont commencé ; il me faut donc être à la hauteur. Pouvoir répondre au mieux ou du moins savoir ré-orienter et ne pas se laisser déstabiliser. En matière de généalogie – comme le reste d’ailleurs – il faut savoir rester « humble ».

Ne pouvant être sur tous les fronts, j’ai laissé de côté pour ce mois-ci le challenge de lectures. Mais ne croyez pas que je ne lis plus : je lis d'autres choses...

Depuis de longues semaines, je travaille sur le Challenge AZ 2023 : j’essaie de relever le défi d’écrire l’histoire de mon grand-père paternel, sans document et seulement avec quelques brides d’informations glanées de-ci de-là. Expérience passionnante et riche en émotions, mais très compliquée.

Pour ce Challenge AZ 2023, organisé par Geneatech, nous sommes 76 généabloggeurs à participer. A raison de 1 article par jour, cette semaine, nous avions tous près de 300 articles à lire : je dois avouer que je ne les ai pas tous lus….

Allez, faites vos choix….

101 Gènes

3g création – généalogie

A l'ombre de mon arbre

A nos Racines Perdues

A toutes branches

Ancêtres Edith

Arbo'Recense

Archives de l'AP-HP

Archives départementales de la Corrèze

Archives départementales du Cher

Archives municipales de Pontivy

Archives nationales d'outre-mer

Au coeur du passé

Au fil du temps

Au pied de mon arbre

Aujols-Laffont

Auprès de mon arbre

Autant de nos ancêtres...

Aux temps et autant de mes anciens

Becklivet

Blog de Pierre CAYLUS

Blog GénéaRenault - en pause suite tempête

Brèves d'antan

Broderies ancestrales

Cécile, Jules, Léonie et les autres

Chez Florentine

Chroniques de famille

Chroniques familiales

d'Aïeux et d'Ailleurs

D'ici ou d'ailleurs

Dans les pas de mes ancêtres

De branches en branches

De France et d'Aïeux

De vous aieux en passant par moi !

Des ancêtres et des actes

Des gens d'avant

Destins d'Aïeux

Feuilles d'Ardoise

Généa-Scribe

Généa79

Geneabreizh

Généalogie Alsace

Généalogie d'une famille ordinaire

Généalogie Tahiti

Géniticus

Histoires et souvenirs de la famille Dumonceaux

Ils étaient une fois

Jadis et naguère

Jeunes et Généalogie

L'arbre de nos ancêtres

L'arbre et la plume

L'échos des ancêtres

L'univers de Céline

La forêt de Briqueloup

Le Blog d'Antequam

Le Blog du Centre Généalogique de Touraine

Le blog g de Karine

Le Souffle des Ancêtres

Lorraine... et au-delà !

MaLiBeLe

Mémo-livre

Mémoire de mes Ancêtres

Mes passions et métiers

Michèle Bodénès, le blog d'une généalogiste en recherches

Murmures d'ancêtres

Nos Racines

Nos racines, notre sang

Olim Meminisse

Parenthèses généalogiques

Pérégrinations ancestrales

Petites histoires de nos ancêtres (Genealuxie)

Retrouver ses ancetres

Sur la piste de mes ayeuls

Sur la piste de nos ancêtres

Un arbre en Lozère ... et ailleurs

Une famille, ses histoires

Je dis toujours, lorsque l’on aime, on ne compte pas. Et bien je ne compte plus mon temps en indexation : c’est devenu une drogue.

Mais mon addiction est hautement récompensée, même si je ne vais pas aussi vite que voulu….

Ayant le souci d’écrire le moins de bêtises possibles, je vérifie de nombreux actes. Par exemple, j’ai trouvé deux noms et prénoms à la suite, totalement identiques ; deux nourrissons décédés le même jour, mais l’un ayant 8 jours, et l’autre 15 : est-ce une erreur de transcription ?

Trop intriguée, je vais rechercher les actes de décès :

Aussi étrange que cela puisse paraître, ces enfants sont des jumeaux ; les parents ont donné le même prénom (garçon et fille) à leurs enfants ; et puis, des jumeaux nés à 8 jours d’intervalle, cela existe, je vous l’accorde c’est rare, mais c’est possible !

• DESPLANTES Dominique (fille jumelle) est décédée à 8 jours ; elle est la fille de Jacques DESPLANTES et de Claudine PITOIS,
• DESPLANTES Dominique (fils jumeau) est décédé à 15 jours ; il est le fils de Jacques DESPLANTES et de Claudine PITOIS

Toutefois, non satisfaite de cette trouvaille, je suis allée rechercher les actes de naissance des jumeaux (AD 58 n°5 et 6 page 991/1223) ; le père a déclaré les enfants à la mairie de Moux en Morvan le 22 février 1847 à 4 heures du soir, pour des naissances la veille ( donc le 21) à deux heures du matin ! Tout au plus quelques heures d’intervalle séparent les deux naissances, mais pas plusieurs jours….

Même erreur de transcription pour les jumelles CORTET Lazarette et Philiberte, décédés l’un à un mois et l’autre à deux mois, mais le même jour !

Même recherche que précédemment et découverte de jumelles nées le même jour à Moux en Morvan (AD 58 n°38 et 39 page 1083/1223).

*

Les TSA du canton de Montsauche les Settons regorgent de décès d’enfants, nés de couples légitimes comme de petits de l’Hospice de Paris, nés de parents inconnus ; c’est affligeant….

Ainsi ce petit CHOINNE Louis Etienne, enfant trouvé, né à Paris le 28 juin 1850 et décédé le 10 juillet de la même année au domicile de sa nourrice…. Comme des dizaines d’autres. Il est vrai que le Morvan est une région connue pour avoir accueilli de nombreux orphelins de Paris et d’ailleurs. Fallait-il encore qu’ils aient le temps d’atteindre le logis de leur famille nourricière, tant les conditions de transport étaient précaires.

Quoiqu’il en soit, s’il y a une chose que j’ai bien retenu : il faut TOUJOURS croiser ses sources.

J’ai bon espoir de faire d’autres rencontres plus surprenantes….

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Pour en savoir plus :

Les nourrices du Morvan, une spécificité historique (Radio France)

Le musée des nourrices et de l’Assistance Publique (Alligny-en-Morvan)

Histoire rurale et démographie : les nourrices du Morvan au XIXe siècle (Persée)

Depuis plusieurs semaines, j’indexe les Tables de successions et absences dans le canton de Montsauche-les-Settons (Nièvre, France) pour la période de 1843 à 1851, donc tous les décès survenus dans les communes environnantes : Planchez, Gouloux, Moux en Morvan, Ouroux en Morvan, Alligny en Morvan, et bien d’autres….

Bien que n’y ayant jamais mis les pieds, c’est une région que je connais bien de part la famille de ma grand-mère paternelle, originaire de Chissey en Morvan (Saône et Loire) et ayant été « adoptée » par ses grands-parents à Gouloux (Nièvre).

GENEANET nous offre l’opportunité de choisir la région d’indexation ; et ne souhaitant pas quitter ma « zone de confort » j’ai donc choisi ce canton, puisqu’ayant déjà parcouru un certain nombre de recensements dans différentes communes, des patronymes ne me sont pas inconnus.

IL me faut avouer également que je passe beaucoup un certain temps à indexer, car j’ai vérifié l’information lorsque les familles ne m’étaient pas étrangères ; c’est aussi de cette façon que l’on progresse et que l’on retrouve certains actes.

Ce fut l’occasion pour moi de refaire un peu le point sur les tables de succession.

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Les tables de succession (TSA) ont été introduites en 1807 sous Napoléon Ier, avec la création du Code Napoléon (plus connu sous le nom de Code civil). Elles ont été élaborées pour déterminer les droits de succession en fonction du degré de parenté entre le défunt et les héritiers ; elles ont subi plusieurs révisions au fil des ans pour refléter les changements sociaux et législatifs.

Les tables de successions et absences sont des documents provenant des archives de l'Enregistrement. Elles permettent de retrouver les dates des déclarations de succession concernant chaque défunt et contiennent un certain nombre d'informations concernant ces successions.

On les retrouve aux archives en série  Q. A ce jour, il y a encore très peu de tables en ligne...

La recherche peut se faire soit par le bureau d’enregistrement où est décédée la personne, soit par le bureau correspondant au lieu où se trouvent les biens faisant l’objet de la succession.

Si les Tables de successions et absences servaient principalement à la gestion des successions et à la répartition des biens en l'absence d'héritiers, elles étaient surtout un mécanisme par lequel l'État s'assurait que les biens des personnes décédées sans héritiers directs ne restaient pas sans utilisation ou sans contribution fiscale. Elles servaient à organiser la gestion de ces biens et à collecter des impôts au profit de l'État. Il est bien évident qu’elles n’ont pas été rédigées pour le bon plaisir du généalogiste, et pourtant !

les Tables de successions et absences sont des pépites….. quel bonheur que cette indexation, mais quelles difficultés à déchiffrer :

• les écritures en pattes de mouches flirtent avec les tâches d’encre et les ratures,
• les dates ne sont pas inscrites chronologiquement,
• les épouses ne sont souvent pas dénommée - on n’hérite pas de son conjoint ! -
• les métiers sont peu renseignés….

Passer des archives de Paris à celles de la Nièvre, la marche est haute, mais franchement, ça en vaut le détour !

Malgré l’aide apportée par GENEANET, j’ai dû faire des recherches par moi-même afin de m’assurer de l’exactitude des données. Je suis un peu ce que l’on nomme « une laborieuse » et dans certains cas, j’ai recherché les actes de décès.

Par exemple, j’ai trouvé un acte dans lequel était mentionné le motif du décès : pas banal, n’est-ce pas ?

François COLAS, « grenadier du 2ème Bataillon du 13ème Régiment en ligne », est décédé le 3 novembre 1849 de la fièvre tiphoïde :

Avec le matricule du soldat, le généalogiste peut retrouver le bataillon et les campagnes.

Mais je ne suis pas au bout de mes trouvailles.... (la suite)

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Pour en savoir plus :

L'œil de l'expert : Pierre-Valéry Archassal

La carte des TSA par département

Matricules Napoléoniens 1802-1815/Série

L’Aigle et le pou (document pdf)

La rentrée scolaire est belle et bien passée, chacun se fixe sur des activités à l’issue des forums des associations qui se sont déroulés dans la plupart des communes françaises et pour moi, c’est le bien moment de refaire surface !

L’été a été plus ou moins bien supporté, au regard des chaleurs caniculaires qui nous laissaient amorphes, flasques, apathiques, dégoulinants… bref, vous avez le choix ! L’automne arrive à grands pas, et mon cerveau estival, ramolli du bulbe et cotonneux, est ravi de voir s’installer un peu de fraîcheur revigorante !

Durant ces mois de repos – privilège d’une « jeune » retraitée heureuse ! - j’ai totalement réactualisé les ateliers de généalogie moderne ( pour les thèmes c’est ici), j’ai continué mes recherches et mes écrits pour le prochain Challenge AZ 2023 et je me suis remise à l’indexation collaborative. Il était temps…

*

Contribuer à la communauté pour rendre plus accessibles les archives en ligne est une activité pleinement satisfaisante ; non seulement, je me rends utile, mais je découvre de nouvelles informations en indexant des contenus en détail.

L'indexation collaborative est une pratique précieuse et surtout très sérieuse ; je mets un point d’honneur à rester rigoureuse et concentrée. GENEANET me permet d’indexer des documents provenant de régions où mes ancêtres ont vécu.

Soucieuse de ne pas quitter ma zone de confort – et de faire le moins d’erreur possible – j’indexe actuellement les actes de décès de Paris 7ème et plus précisément fin décembre 1912 à début février 1913 du 42 rue de Sèvre, donc toute personne décédée à l’hôpital Laennec.

J’ai vu défilé de nombreux corps de métier :

• le prêtre, la religieuse,
• le découpeur sur métaux, le mouleur sur cuivre,
• l’ébéniste, le menuisier,
• le chiffonnier, le charron, le cocher,
• le mécanicien, l’employer de Chemin de Fer, l’employé des Postes et Télégraphes,
• la couturière, la blanchisseuse, la repasseuse, la journalière,
• la concierge, l’instituteur,
• la tapissière, le comptable,
• le garçon de lavoir, le porteur aux Halles,
• le comptable, le sommelier ?
• le rentier, le militaire…..

Je révise également ma géographie et mon histoire :

• la « Charente Inférieure » se nomme « Charente-Maritime » seulement depuis 1941 ; en effet, le 4 septembre 1941, Paul Métadier, maire de Talmont puis de Royan lui attribuait ce changement ;
• de même, le département des « Côtes-du-Nord » est devenu « Côtes-d'Armor » en 1990 ;
• et la Seine, me direz-vous ?

  

Les départements de la Seine ont été divisés en plusieurs départements plus petits en 1968. Avant cette date, le département de la Seine couvrait la ville de Paris et une partie de sa banlieue :

• le département de la Seine (75) représentait la commune de Paris et ses 20 arrondissements,

• le département de la Seine-et-Marne (77) à l’Est de Paris où se situe Melun (le long de la Seine) mais aussi Fontainebleau (avec son château et son immense forêt)

• le département de la Seine-et-Oise (78) dans lequel le département Seine était enkystée et dans lequel on a découpé 5 départements supplémentaires.

Cependant, en raison de la croissance démographique de la région parisienne et de la nécessité de mieux gérer cette population importante, la Seine a été divisée en plusieurs départements distincts. Ainsi, la ville de Paris elle-même est devenue un département distinct, tandis que les autres parties de l'ancien département de la Seine ont été réparties dans les départements nouvellement créés :

• Paris (département et ville 75)
• sa « petite couronne » pour les 3 départements les plus proches de Paris, un territoire composé de zones urbaines en pleine expansion :

• Les Hauts-de-Seine (département 92)
• La Seine-Saint-Denis (département 93)
• Le Val-de-Marne (département 94)

• sa « grande couronne » pour les 4 plus grands départements, constitués de zones plus rurales:

• L’Essonne au Sud (département 91)
• Le Val d’Oise au Nord (département 95)
• La Seine et Marne (département 77)
• Les Yvelines (département 78)

Toute indexation, aussi petite soit-elle (chacun fait ce qu’il peut !) est indispensable pour que d'autres généalogistes les utilisent pour leurs propres recherches.

*

A sa manière, chaque bénévole est un « colibri » puisque chaque individu a le pouvoir d'apporter « sa petite pierre à l’édifice » , même s'il ne peut contribuer qu'à une petite échelle.

La théorie du colibri tire son nom de l'oiseau-mouche, connu pour ses efforts constants en transportant de petites gouttes d'eau pour éteindre un incendie de forêt, comme le décrit une légende amérindienne.

Si cette philosophie met en avant l'importance de l'engagement personnel et de l'action individuelle, même si elle est petite, dans la construction d'un monde meilleur et plus durable, elle peut être appliquée dans bien des domaines, et notamment la pratique de la généalogie.

*

Pour en savoir plus :

Indexer en ligne : la bonne pratique (videos)

Le département de Seine et Oise (visites photographiques)

Il y a quelques mois déjà, l’idée m’a traversée l’esprit de refaire tout mon arbre ; je n’ai pas un nombre considérable d’ancêtres, mais tout de même, j’avais le souci de bien faire les choses.

Lorsque j’ai commencé la généalogie de ma famille, je n’entendais rien à cette superbe passion, et en premier lieu, je ne savais pas que cette activité deviendrait aussi dévorante ! J’ai beaucoup lu de livres, je me suis beaucoup documenté sur internet et animer des ateliers de généalogie pour un petit groupe de passionnés m’a boostée. J’ai avancé, accumulé mes recherches, investigué à tout va, me dispersant à gauche et à droite. Résultat : j’ai l’impression d’être passé à côté de quelque chose….

Certes, la période du confinement (Covid19) a stimulé mes actions d’autant plus que la numérisation des archives s’est intensifiée, pour mon plus grand bonheur !

Je vais être honnête : l’idée m’est tout simplement venue à la découverte d’un logiciel libre et gratuit, Ancestris. Il me fallait donc bien faire les choses et surtout intégrer ce nouvel outil.

Pour bien travailler et intégrer, j’ai besoin d’écrire ; et oui, même à l’heure du numérique, je garde encore mes papiers et mes crayons ; cela m’aide à y voir plus clair, ensuite, je transcris sur mon ordinateur.

En reprenant mon arbre généalogique à zéro, je vais être vigilante aux différentes erreurs commises précédemment :

• le manque d'informations fiables : certaines informations se sont révélées être incomplètes ou incorrectes, je pense notamment aux sources qui n’ont pas toujours été ajoutées et aux « média » qui ne sont pas renseignées alors qu’elles sont en ma possession,
• les nouvelles découvertes : l'accès à de nouvelles archives ou à des enregistrements numérisés vont désormais pouvoir me fournir des détails mes ancêtres ; au début de mes investigations, je ne savais ni comment ni où chercher, et surtout, je ne croisais pas mes sources,
• des erreurs rectifiées et des recherches élargies : inévitablement, des erreurs se sont glissées dans mon arbre généalogique, comme des homonymes confondus, des dates mal enregistrées, des erreurs de transcription ; ensuite, je pourrai étendre mes recherches à d’autres branches.

L’idée d’écrire le livre de ma famille ne m’a toujours pas quitté, mais j’ai trop de zone d’incertitude pour me lancer dans pareille aventure.

Reprendre son arbre généalogique est déjà un bon début.

Et bien évidemment, je commence par la branche Deiber, celle de mon père ; mon Challenge AZ 2023 portera sur l’écriture de mon grand-père, de quoi bien étoffer ce côté familial et alsacien.

L'été est bien installé.... commence alors pour moi des vacances bien méritées pour me ressourcer mais surtout me plonger dans de nouvelles connaissances.

Je continuerai à alimenter mon blog mais avec un contenu plus léger ; je partagerai toujours mes nouvelles recherches au gré de mes découvertes :

• les Actu ne seront en ligne qu’à la rentrée (activités et évènements modérés du fait des vacances)
• je prépare de nouveaux ateliers, car si j’ai des adhérents pour la session 2023-2024, je tente une négociation pour des ateliers le samedi matin….
• je poursuis très activement mon Challenge AZ pour le mois de novembre
• je lis beaucoup mais suis très en retard sur mes fiches de lecture pour le Challenge de lecture (désolée….)
• et la reprise de mon arbre généalogique me prend beaucoup de temps puisqu’il me faut intégrer le logiciel Ancestris (nouvelle rubrique)

Bref, une journée ne fait que 24 heures et c’est bien dommage…..

Je vous encourage également à explorer la boite à outils du site « Généalogie d’une famille ordinaire » ; j’ai recensé et mis à jour des sources à ne pas négliger pour vos recherches futures ; je pense que vous pourrez y trouver une mine d'informations pour continuer votre arbre. N’hésitez pas à m’informer d’éventuels liens morts….

Je suis consciente que les vacances sont généralement associées à la détente, mais pour moi, approfondir mes connaissances et évoluer dans cette passion qu’est la généalogie familiale est loin d’être une contrainte : je crois que vous me comprenez !

Je considère cela comme une opportunité de me perfectionner et de vous offrir un contenu encore plus précieux et avec le moins d’erreur possible.

Je vous souhaite à tous de merveilleuses vacances studieuses remplies d'apprentissage et d'accomplissements.

Le printemps est là ! Enfin, on essaie d’y croire….

Toujours est-il qu’il y a dans l’air comme une idée de changement, de rangement…

Il faudrait que je range le linge d’hiver, pour laisser place à celui du printemps/été, faire un bon tri dans mon dressing pour avoir un peu de place – et donner des vêtements par la même occasion – et du lessivage, beaucoup de lessivage dans la maison…. Et que dire du jardin !

Et quitte à faire du tri, commençons par remettre de l’ordre dans l’arbre de ma famille ! Depuis longtemps je pense à utiliser un logiciel libre et gratuit : et bien, c’est chose faite… Je me suis lancée dans le grand ménage de Geneanet et refais tout mon arbre avec Ancestris. J’ai donc créé une nouvelle rubrique où vous pourrez suivre pas à pas mes avancements…… et peut-être, vous aussi, vous lancer dans l’aventure.

Le mois de mai est également le lancement des recherches pour le Challenge AZ 2023 ; j’ai décidé d’écrire sur mon grand-père paternel, Henri Deiber, communiste et déporté. Enfin, c’est ce que ma famille m’a racontée ; j’ai commencé par envoyer une demande de dossier au SHD avec le grand espoir d’avoir une réponse avant la fin de l’été….

En attendant, je continue mes investigations et j’écris.

Parce qu'une journée ne fait que 24 heures, et que le temps passe trop vite.... Je me suis lancée dans les indexations !

L’indexation collaborative est le fait de participer, volontairement et bénévolement, à transcrire des informations lues dans les archives numérisées puis de les saisir dans un formulaire édité par Geneanet pour le partager avec le plus grand nombre. Les recherches des généalogistes – amateurs ou professionnels – s’en trouveront facilitées.

Pour y parvenir, dans le menu du haut, il faut suivre le chemin : Projets / Indexation collaborative.

Une nouvelle page s’ouvre avec deux options possibles :

• votre niveau : débutant ou confirmé,

• le temps dont vous disposez : si vous êtes débutant comme moi, je vous conseille de ne pas dépasser une heure…. Parce que vous la dépasserez !

Vous n’avez pas oublié ?!! La généalogie est chronophage et en matière d’indexation, c’est encore plus le cas ; certains actes sont plus compliqués que d’autres et il est important de faire le moins d’erreur possible. Pensez à l’internaute que vous êtes : vous ne seriez pas heureux de voir une erreur commise sur votre arbre ; le fruit de vos recherches en devient alors plus compliqué….

Je vous invite donc à lire attentivement les « conseils et F.A.Q » ; ils contiennent de nombreux renseignements qui vous éviteront des erreurs ; et puis, pas de panique, vous pouvez demander une « relecture » !

Vous pouvez également choisir – et c’est plutôt sympa ! - soit indexation au hasard, soit une indexation plus précise et/ou une des départements de vos ancêtres.

Je viens donc de commencer par les actes d’état civil – les décès sur Paris 1938 – et je peux aller à mon rythme ; en effet, je peux mettre en attente mon indexation et « reprendre plus tard ». Ainsi, mon travail est enregistré et je peux le continuer là où je l’avais laissé, sans prise de tête !

Geneanet a mis également en ligne (bandeau sur la gauche de la page d’indexation en cours) une aide très précieuse pour retranscrire correctement les dates et les noms ; il existe aussi un forum dédié aux projets collaboratifs.

La seule règle d’or : ne pas interpréter les informations lues, déchiffrer et simplement retranscrire.

Ainsi, dans un souci de partage, j’ai la légitime conviction d’apporter ma petite pierre à l’édifice…..

Si l'indexation occupe beaucoup de mon temps, je continue également la généalogie de mon grand-père paternel (branche Deiber), qui a vécu une partie de sa jeunesse au 25 rue Broca à Paris. J'ai donc recherché de vieilles photographies et suis tombée sur le photographie Charles Marville... et hop une nouvelle recherche (ici) et un nouvel objectif de diaporama sur le vieux Paris ! Quand on aime, on ne compte pas !!!

Il y a fort longtemps que je n’ai pas rédigé d’article sur ce blog, mais cela ne veut pas dire que je ne fais rien ! Je n’ai pas toujours le temps de mettre des mots dessus….

Tout d’abord, on ne va pas se mentir, la mini-exposition sur « les femmes et le numérique » a été un véritable fiasco. Désintéressement ? Lassitude ? Mauvais choix de thème, de lieu….

Quoiqu’il en soit, je persiste.

Peut-être proposerai-je une mini-exposition dans une bibliothèque, avec des livres en référence ; tout est possible et j’ai une année pour y réfléchir.

Je continue mes lectures, espérant coller au Challenge de lecture 2023, mais mes livres ne rentrent pas toujours dans les cases ; j’ai donc pas mal de « hors challenge ».

En ce qui concerne la généalogie, j’ai bien avancé la branche RIVOAL mais je n’ai pas pris le temps de rédiger ; ça ne saurait tarder. Je me suis assurée de ne pas m’engager dans une famille qui n’appartiendrait pas à ma « moitié ». Déjà que mon conjoint ne s’intéresse pas du tout à la généalogie, si en plus, je lui livre de fausses pistes, je n’ai pas fini d’en entendre parler ! La rédaction est pour bientôt….

J’ai sauté le pas, comme on dit : j’ai longuement réfléchi et j’ai enfin décidé d’en savoir plus sur Henri Alfred DEIBER, mon grand-père paternel. En savoir plus ? A dire vrai, toutes les trouvailles seront bonnes à étudier, puisque je ne sais presque rien sur lui, si ce n’est quelques brides d’informations ; et vous savez bien ce que l’on dit sur les « silences » et les « légendes familiales »…

Alors je me suis lancée dans l’écriture du nouveau Challenge AZ 2023 ; déjà ? Me direz-vous… et bien, si je compte les recherches, plus l’écriture d’un article par semaine, j’aurai fini pour le mois de …. septembre ! Le challenge est pour le 1^er novembre, il n’est pas question de « mollir ».

Si ces quelques semaines se sont déroulées dans la zénitude avec « La papeterie de Tsubaki », une petite pépite de sérénité, j’aborde les jours suivants avec rigueur et sérieux. Je viens de terminer « Le droit d’emmerder Dieu » une plaidoirie sur la liberté d’expression : un livre qui me « cause » en tout point, un véritable coup de cœur ! Je vous invite à le lire ; il est riche de documentations, de références historiques et invite à la réflexion.

Même si l’on sait certaines choses, je pense qu’il est judicieux de réactualiser ses connaissances…Il n'y a pas pire que les gens qui croient savoir et en fait....

Nous sommes le 7 février et dans très exactement un mois, se déroulera le début des « festivités » : toute la semaine du 6 au 10 mars, des ateliers de sensibilisation et de mobilisation autour de la thématique des droits des femmes se dérouleront au centre social l’Amandier de Vigneux sur Seine.

J'ai pas mal de pain sur la planche, comme on dit, mais c'est avec un grand plaisir que je vais rechercher des femmes « oubliées » de l’Histoire : c’est ce que l’on nomme l’effet Matilda. Mais je n’en dis pas plus… Donc, si tout va bien, à dater du 6 mars, je mettrai sur ce blog, le fruit de mon travail….

Je viens de passer 15 jours un peu éprouvants, mais j’ai des ressources et si ces derniers jours, j’ai pataugé dans une grande tristesse, le moral est revenu !

Technique de respiration, exercices de sophro et le tour est joué, mais avec beaucoup de réflexion ; je suis le genre de personne qui peut vite sombrer, mais qui rebondit tout aussi rapidement, et avec de nouveaux objectifs. Allez savoir pourquoi !

Le début d’année est souvent propice à des remises en question, quelquefois douloureuses, mais elles sont indispensable pour avancer : je dois changer ma situation actuelle pour qu’elle corresponde mieux à mes attentes. Mes réflexions passent toujours par l’écrit : positif, négatif, oui, non, pourquoi et bien sûr comment.

Tout d’abord, j’ai réactualisé le site de SYNAPSE91 et celui de GENEALOGIE D’UNE FAMILLE ORDINAIRE avec une toute nouvelle boîte à outils.

Je travaille également sur de nouveaux tutos pour les prochains ateliers courant mars 2023.

Une nouvelle année vient de commencer ! Je vous la souhaite heureuse, belle et riche en découvertes, en nouvelles aventures et peut-être la réalisation de projets novateurs, sans oublier la santé et l’argent, bien sûr ! Certes l’argent ne fait pas le bonheur, mais on ne va pas se le cacher, il y contribue fortement !

Cette première semaine est donc un peu l’heure des bilans et des éventuelles bonnes résolutions à peaufiner….

Mais il y a bien longtemps que je ne prends plus de « bonnes résolutions » puisque je suis bien incapable de les tenir sur la durée ! J’ai pris le parti de me fixer de tout petits objectifs pour éviter la déception. Dans la mesure du possible, j’essaie de rester « bienveillante » avec moi-même…. Et avec mes ancêtres, sans jugement de valeur car nous ne sommes pas responsables de leurs actes….

Tenez, par exemple, pensez-vous que tous les secrets doivent être dévoilés ? 

Il y a des secrets de famille anodins qui ont perdu de leur importance avec le temps ; les mères-célibataires d’aujourd’hui ne subissent plus le même regard réprobateur de la société. Alors si dans votre arbre vous avez des filles-mères – et vous en avez sûrement ! - vous ne les jugerez pas.

Les plus terribles secrets sont ceux liés à la honte, aux « non-dits », qui provoquent des dégâts à la génération suivante, voire au-delà : je pense par exemple aux agressions sexuelles, à l’infertilité, aux mensonges sur une naissance, aux suicides, aux horreurs de la guerre subies, au génocide.

Les secrets liés à la filiation sont considérés comme les plus insupportables ; mais la révélation d’un secret de famille peut s’avérer toxique. IL y a encore peu de temps, on jouait la carte de la « franchise », puisque l’on disait qu’il valait mieux dire que se taire. Peut-être, mais pas n’importe comment et à n’importe quel moment….

Mais sommes-nous tous prêts, à un moment de notre vie, à entendre l’entière vérité ? Et qui fera cette révélation ? Et comment ?

Sommes-nous réceptifs émotionnellement pour recevoir ce secret si bien gardé ?

On dit que les plus lourds secrets sont ceux qui ne sont pas admis socialement….

Dans mon arbre, je suis à la recherche d’une jeune fille de 16 ans, qui s’est donnée la mort. Je suis sûre de son existence mais pas de sa filiation : je n’ai trouvé ni acte de naissance, ni acte de décès, simplement un nom sur des tables de succession et l’âge du décès est erroné ! C’est déjà un début, mais la retrouver est devenue une obsession…. Personne autour de moi ne veut en parler : il s’agit forcément d’un secret de famille.

Jaques DAYAN, psychothérapeute et chercheur à l’INSERM a dit « il faut mesurer le risque avant de dévoiler un secret de famille ». Je mesure, je mesure…. Je cherche sans toutefois me donner tous les moyens de trouver ; je me sens ambivalente, tiraillée entre le désir de savoir et la peur de la révélation.

Et comme la nature n’aime pas le vide, je fabule….

Voilà plus de dix ans que je fais de la généalogie, je n’ai toujours pas trouvé cette jeune fille et je continue à chercher….

Et je ne suis pas prête de m’arrêter ! Tenez, j'ai même commencé une remise à jour du site et je prépare une nouvelle boite à outils. Allez savoir ce qui m'est encore passée par la tête : peut-être la peur de l'ennui...

Sans aucune prétention, j’ai une vie « sociale » assez bien fournie : je suis bénévole dans plusieurs associations et je n’arrive pas à m’en passer…

Rencontrer des gens a toujours donné un sens à ma vie : échanger, partager, c’est tout ce que je sais faire...

Au fil des mois, j’ai remarqué – à juste titre ou non – que nous étions de moins en moins nombreux à lire…. Que ce soit durant les ateliers « lectures » (beaucoup écoutait sans rien présenter) ou bien durant les ateliers de généalogie. Comment vous inciter à lire ? Bien sûr, le web s’est confortablement installé dans notre environnement, mais je reste persuadée que la « Culture » passe d’abord par les livres.

Alors je me suis demandée comment je pourrai vous inciter à aimer la lecture (nouveau challenge pour l’année à venir ??). Pour ma part, je crois que j’ai toujours aimé lire….. Pourtant, la lecture a été un apprentissage compliqué ; dyslexique, je passais pour une enfant idiote, qui ne comprenait rien, une fainéante qui ne voulait pas faire d’effort… enfin, vous voyez le tableau : en ces temps-là, on ne s’intéressait pas aux enfants « différents » ; ils étaient une perte de temps !

J’ai commencé à lire avec un dictionnaire : chaque mot inconnu était recopié dans un répertoire. Et

je me suis accrochée…. Mon leitmotiv a toujours été : « vingt fois sur le métier remettez votre ouvrage » ; c’est la seule phrase que je connaisse de monsieur Boileau, mais elle fonctionnait pour moi, et à toutes les sauces !

Je suis à la retraite depuis plusieurs mois et j’ai attaqué une période jubilatoire de « je fais ce que je veux, quand je veux et où je veux » dans la limite du « raisonnable » bien sûr !

J’ai passé l’âge des obligations scolaires et/ou professionnels puisque ce nouveau statut me conférerait sagesse et sérénité (dans les temps anciens du moins !). Je devine vos sourires, mais connaissez-vous le proverbe africain : « un vieillard qui meurt, c’est comme une bibliothèque qui brûle » ? A sa mort, le sénior qui a accumulé des savoirs au cours de sa vie, disparaît en emportant avec lui toutes ses compétences acquises, à l’image d’une bibliothèque qui brûle, éparpillant les cendres des savoirs amassés durant des siècles…

Parce que nous avons tous quelque chose à transmettre…

Ah je vous entends : « nous n’avons pas tous le même savoir » et alors ? Nous savons tous faire quelque chose et nous avons tous quelque chose à dire….

Alors, au lieu de vous demander pourquoi vous ne lisez pas ou bien pourquoi vous ne lisez plus, je vais vous expliquer pourquoi, moi, j’aime lire et peut-être – en toute modestie - trouver un début de solution.

La lecture commence par le choix d’un livre : le titre, l’image sur la couverture, et le résumé sont décisifs dans ma sélection ; mais il peut arriver que je me trompe ; je m’impose toutefois de lire la 50ème page pour me déclarer « non convaincue » et je l’abandonne. Vous avez sûrement commencé à lire un livre qui ne vous a pas accroché ! Lâchez-le, le suivant sera peut-être meilleur… Le livre que votre voisine a trouvé « génial » ne l’est pas forcément ; ce n’est pas une question de « niveau » mais d’« affinité ». C’est comme les chaussures : il faut souvent en essayer plusieurs pour en trouver une qui convienne….. Et puis mon temps est trop précieux pour continuer avec un livre qui me déçoit ! J’ai encore … allez, vingt ans à vivre !…..

Lorsque j’ai trouvé la « perle rare », je cherche un coin au calme, dans mon canapé entre mes deux chiens – ils adorent et je les soupçonne même de lire par dessus mon épaule ! - ou bien sur les marches de mon escalier dehors au soleil… mais je peux aussi bien lire dans les transports en commun, dans la salle d’attente du médecin – je suis d’ailleurs la seule à ne pas regarder mon téléphone ! Et là, j’avoue, je me sens tellement « différente » et j’adore ça !

Je lis pour acquérir des compétences, me documenter – notamment en généalogie ! - mais aussi pour me distraire, m’évader, pour rêver, me transporter dans d’autres mondes, d’autres époques, au travers d’autres situations …. les livres sont mes paradis artificiels.

Et depuis quelques temps, j’ai même appris que je n’étais pas seule à lire tout haut, lorsque je suis seule ! Parce que les mots sont comme une musique… j’aime surtout lire tout haut les dialogues ; je m’amuse à mettre le ton, à élever la voix, bien marquer la ponctuation… on s’amuse comme on peut, me direz-vous. Et bien savez qu’une étude menée à l’université de Bangor au Pays de Galles a mis en évidence l’utilité de se parler dans l’exécution d’une tâche complexe. Paloma Mari-Beffa, Maître de conférences en neuropsychologie et psychologie cognitive explique que « si nous nous parlons à voix haute pour prendre le contrôle lors de tâches difficiles, les performances s'améliorent considérablement.» On en apprend tous les jours !

Il ne se passe pas une journée sans que je lise : j’ai même épluché les professions de foi de nos candidats aux élections présidentielles, c’est pour dire !Il est même inconcevable pour moi de ne pas lire avant de me coucher, même si ce n’est que quelques lignes.

Alors venir aux réunions de Mnémosyne m’a permis d’écouter de nouvelles histoires, faire des rencontres d’écrivains dont je n’avais jamais entendu parler ! Et puis cette année, je me suis lancée dans un Challenge de lecture : une première pour moi !

Lorsque je trouve un auteur dont j’apprécie le style d’écriture ou bien les histoires, les énigmes ou les secrets, j’essaie de le suivre autant que faire se peut..

J'espère très sincèrement vous avoir convaincu que la lecture est une très belle aventure ; elle stimule notre imagination, enrichie intellectuellement - plus on lit et plus on acquiert de vocabulaire - elle améliore la concentration et surtout, elle entretient la mémoire.

Et peu importe ce que l’on lit, tout n’est qu’une question de plaisir.

Côté plaisir, bien évidemment, j’ai la généalogie : cette année, j’ai bien avancé. En croisant mes données avec celles de Geneanet, Filae et Ancestry, j’ai fait de très belles rencontres, tant en Alsace que dans le Nord-Pas-de-Calais.

Pour la nouvelle année 2023, j’envisage de m’attaquer très sérieusement à l’arbre de mon conjoint ; il ne s’intéresse pas du tout à la généalogie. Seules les nouvelles technologies le passionnent ; disons qu’il aime autant le futur que le passé me captive. Mais j’ai quelques armes secrètes qui risqueraient bien de l'intriguer.

En attendant, le Père Noël va passer ce soir...

Les jours de décembre se sont bien installés : les marchés de Noël occupent tous nos week-ends ; les calendriers de l'Avent pleuvent et pas uniquement les chocolats ! Voici donc

- le Calendrier de l'Avent des AD de la Marne,

- le Calendrier de l'Avent de Geneafinder,

- le Calendrier de l'Avent des AD des Alpes Maritimes,

- le Calendrier de l'Avent des AD de l'Aube,

- le Calendrier des Archives de la ville de Rennes.

C'est aussi pour moi l'occasion de revisiter les symboles de Noël.

.... En attendant le Père Noël, un petit cadeau pour les plus nostalgiques : Bambi sur la Glace (1945), je ne m'en lasse jamais...

Lundi, nous arrivons à la « presque » moitié du challenge AZ…. Dur, dur de suivre le rythme.

La semaine est passée à une vitesse vertigineuse, donc je n’ai pu lire aucun article des autres généalogistes.

Par conséquent, je m’y suis « collée » ce week-end, sans oublier « Chasseurs d’héritiers » que je ne manquerai pour rien au monde : un peu de détente, ça fait toujours du bien !

Je vous propose toutefois une petite sélection pour la semaine passée :

• le jeu-devinette de GeneaScribe : il fallait y penser !
• F comme Fromages de chèvre : le Bougon en boîte : une histoire de Poitou, bien sûr,
• F comme... Farinier, marin ou peintre, Faudrait savoir !!
• Guinot, roi du pastis Périgourdin
• Gothique, antique et fracture : un article que j’ai particulièrement apprécié car je suis justement en pleine « fraktur » !
• Grande Guerre 1914-1918 : que dire ? Je ne serai pas très objective, car j’a-do-re ce que ce bloggeur écrit !
• H comme hasard : ou travail et acharnement….
• H comme Hainaut : Mons pour des ancêtres belges
• ChallengeAZ 2022 H comme Huguenot (origine du mot ) et Hertzoggies
• I comme l’interdiction de Marie Duval : surprenant !
• J comme journal de recherches : incontournable pour bien avancer !
• J comme Journaux : Reims (2)
• K comme Kléber : parce son nom est le prénom de mon grand-père maternel
• K comme kouign : parce que.... je suis une grosse gourmande !

Lorsque je lis tous ces articles, je me dis que mon plus grand regret est de n’avoir aucune photo, aucun papier de ma famille…. Pas la moindre petite lettre….

Mais l’essentiel est de se faire plaisir, d’en apprendre toujours un peu plus !

Et bon Dieu, qu’est-ce qu’on apprend en lisant tous ces articles !!!

Aujourd'hui, dimanche, on pourrait croire que c'est relâche ; et bien non !

Je n'avais qu'une semaine d'avance sur mes articles et il me reste encore 3 semaines à rédiger ; alors il faut croire que mon éducation judéo-chrétienne m'inflige des souffrances culpabilisantes, parce que j'aime ça et que je persiste dans mes écritures généalogiques....

Dimanche, c'est aussi l'occasion pour moi de rattraper mon retard en lisant les articles des autres internautes ; l'intérêt d'un Challenge AZ n'est pas uniquement de "booster" sa généalogie mais de s'imprégner des démarches, de l'organisation, des méthodes des autres participants généalogistes, amateurs ou professionnels et surtout d'apprendre.

Tout d'abord, vous pouvez retrouver tous les articles de ce Challenge sur Flipboard (ICI) ; nous sommes 72 généalogistes à partager nos articles en ligne !

Ensuite, je vous présente les sites que je visite le plus ; parce qu'il m'est impossible de tout lire - une journée ne fait hélas que 24 heures !  - il m'a fallu faire un choix :

• A nos racines perdues : les femmes sont à l’honneur

• Michèle Bodènes, la généalogie à la portée de tous : votre ancêtre, a-t-il participé à l’administration d’un hospice ? 

• Une histoire de famille : la photographie en lien avec la généalogie

• De France et d’aïeux : le Paris du XVIIème siècle afin de découvrir les personnalités et anecdotes de mes enquêtes parisiennes

• Feuilles d’ardoise : « tout au long de ce Challenge AZ 2022, je vais vous présenter un registre de sépultures dont la transcription m’a particulièrement enchantée. J’espère qu’il en sera de même pour vous. Il s’agit d’un registre de la paroisse de Seiches-sur-le-Loir qui contient des sépultures ayant eu lieu entre 1604 et 1655 » 

• Généalogie Alsace : les métiers de nos ancêtres

• Le site de Pascal Pariset : l’Alsace et la Lorraine

• Geneatech : les nouvelles technologies autour de la généalogie

• Les archives de l’AP-HP (FB) : « grâce à ce challenge A à Z vous allez découvrir les subtilités de la recherche généalogique dans nos fonds d’archives »

• Sur la piste de mes ayeuls : « les anecdotes au fil des registres des paroisses de mes ancêtres, de la petite à la grande Histoire ! »

Au regard de mes recherches actuelles, ce sont les blogs et/ou les sites que j'ai préférés ; je m'en excuse auprès de ceux que je n'ai pas cité ; tous les articles sont remarquables, car nous savons tous que la généalogie demande beaucoup de temps, et l'écriture, souvent autant !

Au fil de mes lectures, il se pourrait bien que je partage d'autres articles....

C'est le grand Jour ! le Challenge AZ 2022 commence aujourd'hui !

Durant ce mois de novembre, je ne vous parlerai que de patronymes, de vie ordinaire de mes chers ancêtres.

Que de trouvailles durant toutes ces semaines passées et quelle belle aventure ! Ainsi que je l'avais écrit précédemment (ICI) j'ai amorcé le récit d'un ancêtre dont le patronyme est le plus important dans mon arbre généalogique, tout en suivant scrupuleusement les lettres de l'alphabet ; bien sûr pour les lettres absentes (ou très peu nombreuses) j'aborderai un thème qu'il m'a fallu travailler pour réaliser ce challenge.

Hélas, je n'ai pas pu tout écrire : il y a tellement à dire... et des recherches à compléter.

J'ai hâte de partager mes articles et surtout de lire ceux des autres participants. On apprend tellement des autres !

Pour suivre tous ces écrits, vous avez plusieurs choix : FaceBook ou tous les autres.

Que le temps passe vite... trop vite et le Challenge AZ arrive à grands pas !

J'ai hâte sans avoir hâte car je ne suis pas prête ; tous mes articles sont loin d'être terminés.... il me faut écrire les histoires mais surtout rechercher les actes et documents sur lesquels m'appuyer.

Pour celles et ceux qui seraient tentés par l'aventure, les inscriptions sont déjà ouvertes (ICI).

*

J'ai reçu la réponse de l'enquête de monsieur BEAUCARNOT (ICI) et je ne suis pas très fière de moi... j'ai encore arrêté trop vite, j'aurai dû persévérer. Je me sens dans l'obligation de refaire la prochaine enquête...

*

Ce mois-ci, j'ai bien sûr continué le Challenge de lecture en y ajoutant des lectures hors challenge comme  par exemple Histoire de femmes et de mères. Une vraie pépite !

*

Je viens également de terminer un quiz de généalogie et de culture générale (quiz1 et quiz2) qui m'a demandée pas mal de travail pour adapter les réponses aux questions et les enrichir. J'espère qu'ils vous plairont.

Difficile de se concentrer avec des travaux à la maison ! Heureusement, il y a la forêt pas trop loin....

La sylvothérapie est très à la mode aujourd’hui, mais moi, je marche en forêt depuis plus de 30 ans ! Avec ou sans mes chiens. J’aime sortir des grandes allées et m’aventurer dans les chemins pratiqués par les animaux, sangliers, renards, chevreuils ou autres « petites bêtes ». Avec un appareil photo, c’est encore plus motivant … D’ailleurs, j’ai commencé des cours de photos.

Marcher, respirer, stimule l’énergie, favorise la concentration et surtout, réduit terriblement la tension et le stress. Lorsque je rentre, je peux me remettre à écrire ! Ah écrire, j’ai l’impression de ne savoir faire que ça !!

Depuis la semaine dernière, je participe à un atelier d’écriture autobiographique : agréable à souhait, quelquefois douloureux, mais toujours un plaisir de se remémorer des souvenirs enfouis très loin. Je ne sais pas encore si je vais écrire des « mémoires » ou bien écrire sur mon métier…. J’ai tant à dire et si peu de temps….

Et dans un peu plus d’un mois – novembre arrive à grands pas – je participerai au Challenge AZ 2022 ; j’ai déjà commencé à rédiger des articles sur certains ancêtres ; vous pensez peut-être que je m’y prend un peu tôt, mais il me faut bien 3 à 4 jours pour faire des recherches pour un seul aïeul, alors les 26 lettres de l’alphabet, vous imaginez pas !!!

Bref, ce challenge est en train de booster ma généalogie ; et pour surajouter aux difficultés, je me documente (je ne voudrais pas écrire des bêtises ! ) et je répertorie scrupuleusement tous mes actes.

Ah j'oubliais : je suis en train de préparer un nouveau quiz et j'attends avec impatience les résultats de la dernière énigme de monsieur BEAUCARNOT.....

Cette semaine, c'est la rentrée pour tout le monde !

Les reprises sont toujours compliquées :

- préparation du Forum des Associations de Vigneux,

- réactualisation des anciens tutos et préparation des nouveaux (pour SYNAPSE91 & MNÉMOSYNE),

- élaboration des articles pour le Challenge AZ 2022 que je compte bien suivre.... j'ai déjà une idée de thème, mais tout de même 26 articles à rédiger.....

- durant 3 mois, je vais suivre des ateliers d'écriture biographique en espérant pouvoir rapidement me lancer dans cette grande aventure,

- des lectures toujours, même si je ne peux pas les incorporer au Challenge ; ce sont toujours des livres !

- des recherches généalogiques, bien évidemment, pour agrandir mon arbre, et écrire l'histoire de mes ancêtres.

Et je ne parlerai même pas des travaux entrepris depuis peu dans la maison !

Bref, un début septembre bien chargé !... mais toujours dans la joie et la bonne humeur !

Les ateliers de SYNAPE91 vont bientôt se terminer et il est nécessaire de penser à la rentrée de septembre : préparer de nouveaux tutos, de nouveaux jeux et peut-être de nouvelles activités, mais pas que !

Je me suis préparée quelques devoirs de vacances, comme apprendre le logiciel libre et gratuit Ancestris ou bien faire quelques petits voyages généalogiques….

Mais surtout, comme tous les ans, j’ai l’intention de participer au prochain Challenge AZ 2022 durant tout le mois de novembre ; ah… me direz-vous, déjà ! et quel thème choisir ? Quel ancêtre ? Là est tout le problème : un mineur du Pas-de-Calais ? Un Alsacien cher à mon cœur, une landaise inconnue, ou mon grand-père que je n’ai jamais vu….

J’ai tout l’été pour y réfléchir et les 30 questions de Sophie pour affiner mes écrits….

Pour en savoir plus :

Le kit de survie

Rédiger la biographie d’un ancêtre (RFG)

26 questions pour écrire la vie d’un ancêtre (le blog d’Elise Lenoble)

Beaucoup de tout et surtout du presque rien dans ma généalogie......

Beaucoup de lectures et beaucoup de "rien que pour les yeux"....

Tout d'abord, j'ai complété mes maigres connaissances en matière de "blasons" et "d'armoiries" en lisant L'art héraldique au Moyen Age : certes mes branches sont bien loin d'atteindre cette période de l'histoire, mais qu'importe... J'ai surtout appris qu'il n'était pas nécessaire d'être noble pour avoir un "blason" ; toutefois, si les blasons étaient attachés à un "fief" donc à une terre, un patrimoine, je doute fort que ma famille ait pu en avoir un

Mais si ma famille n'était pas très riche - en monnaies sonnantes et trébuchantes - elle avait parmi ses membres des couturières. J'ai découvert un très beau livre 12 couturières qui ont changé l'Histoire....

Durant cette semaine de congé, j'ai prospecté de nombreux sites, tout d'abord pour la résolution d'une énigme de la RFG puis pour finaliser mon écrit sur les liens existant entre les familles SIAT et DEIBER.

Et la récolte fut fort prometteuse....

Même si la résolution de l'énigme "Un spahi brouillé avec sa famille parisienne" m'a paru très compliquée, elle m'a permis de faire des "trouvailles" de sites intéressants :

 Les soldats morts pour la France

Registres d'admission et dossiers individuels des enfants assistés de la Seine (Geneanet)

Dossiers de placement par fonds d'agence (AD 75)

De même, lors de la rédaction de Françoise SIAT (2), j'ai pu visiter des sites tel que l'histoire du Bas-Rhin (FamilySearch).

Et que dire de ma lecture "Elle s'appelait Sarah", un roman qui rend hommage aux victimes de la barbarie nazie.

Au hasard de mes surfs sur le web et notamment sur Facebook, j’ai trouvé l’idée intéressante d’un internaute : n’ayant pas – voire peu – de photos de ses ancêtres, il a décidé d’apposer sur son arbre généalogique le blason de la commune de naissance de chaque personne.

Se pose alors la question : blason ou armoiries ? Quelle différence existe-il ?

• Une armoirie est un emblème, un dessin, choisi pour représenter une famille ou une communauté ; l’écu est la forme de base
• Le blason est la forme codifiée et scientifique de décrire tous ces emblèmes que ce soit à l'écrit ou à l'oral.

Pour ma part, je parlerai plus volontiers de blason des communes.

Par conséquent, pour mes ancêtres directs, je garde mes « vignettes » et pour les collatéraux, j’accollerais le blason (en forme d’écu) de leur commune de naissance.

Me voici donc partie à reprendre chaque ancêtre pour y ajouter le blason de sa commune de naissance ; je m’aperçois très vite que chaque branche comporte des couleurs dominantes. Mais à quoi correspondent ces couleurs et que représentent-elles ?

On distingue :

• les métaux
  • le jaune pour l’or : noblesse, intelligence, vertu, prestige
  • le blanc pour l’argent : sagesse, richesse, pureté
• les émaux
  • le bleu pour l’azur : fidélité, persévérance, loyauté
  • le rouge pour « les gueules » : amour, passion, désir de servir sa patrie,
  • le noir pour le sable : tristesse, humilité et le diable
  • l’orange pour l’aurore
  • le marron pour le tenné
  • le vert pour le sinople : liberté, joie, espoir, honneur, santé et fertilité
  • le violet pour le pourpre : pouvoir suprême, largesse, souveraineté

Bien évidemment tout ceci n’est qu’une ébauche ; il va me falloir creuser « un peu »…. et me documenter.

Côté lecture, je continue mon Challenge 2022 et espère bientôt arriver au 1er palier des 15 livres (on y croit !) ; ce qui me fait moins de 4 livres « entiers » par mois, sans compter les magazines et divers écrits trouvés sur les blogs.

Si la lecture, c'est passionnant, faire des trouvailles, c'est encore mieux ! Concernant l'énigme de la Revue Française de Généalogie, je n'ai pas avancé autant que je le souhaitais, mais je m'y attelle.... et vous ?

Pour en savoir plus :

Portail de l’Héraldique et de l’art du blason

Les emblèmes de France

Le blasonnement

Lorsque l’on a plus de 3000 ancêtres dans son arbre, il est tout-à-fait légitime d’envisager une « relecture », c’est-à-dire, pour certains d’entre vous : tout refaire !

En ce qui me concerne, je vais plutôt m’orienter vers une « introspection » : j’ai décidé de continuer mon arbre généalogique, par la branche paternelle alsacienne, que j’ai abandonnée depuis quelques temps. Cette branche est une valeur refuge que je ne peux expliquer ; mon malaise actuel vient peut-être d’une actualité angoissante, d’une peur injustifiée du lendemain, d’un cauchemar sans cesse renouvelé de racisme et de haine, d’une histoire qui ne tire jamais profit des erreurs du passé…

Quoiqu’il en soit, j’ai confiance : la psychogénéalogie va pouvoir me donner quelques élément de réponse. IL faut bien essayer de se rassurer et je ne suis pas d’une nature à me laisser submerger sans bouger !

Vous avez dû vous apercevoir qu’après un certain laps de temps sans faire de recherches, s’y remettre est « un peu » compliqué…. 

Pour cela, j’ai repris la lecture du Challenge AZ du Cercle de généalogie Alsacien. Chaque article va m’aider à rebondir sur des interrogations.

Et pour que mon cerveau reste toujours actif, je me suis lancée dans un nouveau logiciel : Ancestris....