• Actu JANVIER 2024

    Voici des actualités glanées ça et là,

    des articles repérés sur des blogs...

     

    Actu JANVIER 2024ACTUALITES

    La 10e édition du grand Salon de généalogie grand public organisé à la Mairie du 15e arrondissement avec Archives & Culture et le partenariat de Geneanet se tiendra du 14 au 16 mars 2024. 

     

    Ces œuvres qui entrent dans le domaine public en 2024 (Gallica)

    52 Semaines – 52 Ancêtres : Nos Poilus à l’honneur : un challenge de qualité à suivre chaque semaine depuis le début de l’année….

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    EXPOSITIONS VIRTUELLES

    Je vous propose un superbe reportage de FranceTV : « Avec le temps, la reine Marie-Antoinette, qui fut la femme la plus haïe de son époque, a connu un spectaculaire retour en grâce. Aujourd'hui, les historiens et les conservateurs donnent à voir un autre personnage : une femme indépendante et aimante en quête permanente d'intimité qui a su garder ses secrets ; une femme au goût raffiné, féminin et moderne qui a marqué son temps. A Versailles, dans ce sublime écrin coupé du monde où elle s'est barricadée, Marie-Antoinette a cultivé son propre style et influencé, à travers toute l'Europe, les goûts de son époque ». Attention, vous allez en prendre plein les yeux ! (Cliquez sur l'image ci-dessous)

    Actu JANVIER 2024

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    GENEALOGIE : mode d’emploi

    Le Fonds des Sœurs Hospitalières de Beaune (Archives municipales de Beaune)

    Nièvre : les répertoires des notaires publiés (AD 58)

    Var : le fonds notarial s’enrichit (AD 83)

    Généalogie dans la Loire : à la recherche de vos ancêtres (Geneafinder)

    Quelles villes ont été les « capitales » de la France avant Paris ? (GEO)

    Malgré-nous : les recherches sur les incorporés de force mosellans et alsaciens (Marques Ordinaires)

    Actu JANVIER 2024

    La vente de biens : un acte notarié à ne pas négliger (La Gazette des Ancêtres)

    Aperçu des archives allemandes de l'Occupation (Histoire et Généalogie)

    Mince alors… Pourquoi ai-je besoin d’une fourchette, en généalogie ? (Mémo Nantais)

    Calendrier météo et épidémies (Centre généalogique du Finistère)

    Geneanet simplifie ses menus (RFG)

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    DES SITES, DES BLOGS et aussi des histoires….

    Un mariage consanguin à Saint-Sulpice-le-Dunois (le blog d’Antequam)

    La vente de biens : un acte notarié à ne pas négliger (la gazette des Ancêtres)

     Actu JANVIER 2024Jean-Baptiste Guimet, l’inventeur du bleu outremer artificiel (La minute du généalogiste)

    Petite histoire des vespasiennes (A l’ombre de mon arbre)

    Tempête autour d'un manuel scolaire (Aujols-Laffont)

    Les cap horniers de Benodet (La mer dans les bois)

    Le Kachelofe, poêle de faïence traditionnel alsacien (Généalogie Alsace)

    Bécassine en roulotte (Gallica)

    Au lit ! (Murmures d’ancêtres)

    Théophile Lansiaux tué par la haine et les préjugés ? (Cétait au temps…)

    I comme Invasion de Choléra-Morbus (L’abécédaire de mes ancêtres)Actu JANVIER 2024

    Lisez le « J'Accuse...! » de Zola (Retronews)

    À Versailles, les animaux menaient la vie de château (Le Point)

    Nicolas Appert : l’inventeur de la conserve alimentaire (Destination Paris-Saclay)

    Photographies post-mortem, étrange pratique du XIXème siècle (Raconte-moi l’histoire)

    Qui est votre Sosa 2024 ? (Généalogie Alsace)

    La famille d’Adélaïde, grandeur et décadence (L’arbre de nos ancêtres)

    Histoire sociale : la clé d’une généalogie vivante (La gazette des ancêtres)

    On part sur les traces des SOSA 20 & 24 !(partie 1) (Sur leurs traces…)

    on part sur les traces des SOSA 20 & 24 ! (partie 2) (Sur leurs traces…)

    Pierre Landès et son tombeau (La gazette du vendredi)

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    DES PODCASTS, A ÉCOUTER

    DES VIDEOS A REGARDER, SANS MODERATION….…

    Pour ce début d'année 2024, j'ai envie de vous faire saliver....

    Actu JANVIER 2024

    Connaissez-vous l’histoire du pain ?

    Délicieux pain de forme oblongue moelleux et croustillant, la baguette naît à la fin du XIXe siècle dans les boulangeries parisiennes. Elle deviendra après-guerre l’un des grands symboles internationaux d’un certain « art de vivre » français. (Cliquez sur l'image ci-dessus)

    La baguette de pain française a été inscrite au patrimoine culturel immatériel de l’humanité de l’UNESCO le 30 novembre 2022. Cette inscription reconnaît le savoir-faire des artisans boulangers français et valorise l’ensemble d’une filière comprenant les meuniers, les céréaliers, les salariés et les apprentis. C’est un symbole fort de la gastronomie française qui est reconnu dans le monde entier.

    Toutefois, la baguette française, bien que symbolique de la France, a une histoire relativement récente et plusieurs légendes circulent sur son origine.

    Au début du XIXe siècle, les boulangers de Napoléon auraient inventé la baguette, plus légère et moins volumineuse que la miche traditionnelle, pour faciliter son transport dans les poches des soldats.

    Un boulanger autrichien, August Zang, aurait introduit la baguette en France en 1839. Il aurait vendu des pains de forme ovale, comme ceux que l’on trouvait alors en Autriche. Dans les années 1900, la baguette aurait été inventée pour éviter les bagarres entre ouvriers bretons et auvergnats sur le chantier du métro parisien. Les maîtres d’œuvre auraient demandé aux boulangers de concevoir un pain que l’on pouvait rompre sans couteau.

    Cependant, l’histoire de la baguette est plus prosaïque. Selon l’historien spécialiste du pain, Steven Kaplan, la baguette est un produit du XXe siècle, une évolution de la demande urbaine. Les gens aisés en ville avaient besoin d’un pain frais plusieurs fois par jour. Le grand pain qui faisait entre 1,2 et 2 kilos était simplement trop gros. Et ils aimaient davantage la croûte que la mie....

    Pour en savoir plus :

    La baguette a été inscrite au patrimoine immatériel par l'Unesco (L’Histoire)

    « Description et détails des arts du meunier, du vermicelier et du boulenger... » (Gallica)

    Le petit parisien de Willy Ronis

    Manuel du boulanger et de pâtisserie-boulangère (Gallica)

    Le guide du boulanger (Gallica)

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    L’histoire à table est une série de 5 documentaires qui explore l’histoire de la nourriture et des repas à travers différentes époques et cultures ; ces documentaires examinent ce que nos ancêtres mangeaient, comment ils préparaient leurs repas, et comment les traditions alimentaires ont évolué Actu JANVIER 2024au fil du temps.

    L'histoire à table : Banquets Romains (épisode 1) - Documentaire complet - JV

    Ils sont forts ces Romains y compris à table ! Le glaive, le feu, la conquête, l’ombre de Rome s’étend sur l’Europe. Six siècles de toute puissance, de jeux, de brutalités et aussi de raffinements et d’extrêmes sensualités.

    L'histoire à table : Festins médiévaux (épisode 2) - Documentaire complet - JV

    Dans notre mémoire, le Moyen-Âge, c’est toujours la violence, la misère et l’obscurantisme. Mais entre l’an mil et le XVème siècle, nos aïeux sont devenus des consommateurs éclairés, ils ont inventé les saveurs légères et acidulées et même les livres de cuisine, et ce savoir, ils nous l’ont transmis.

    L'histoire à table - Délices Renaissance (épisode 3) - documentaire complet - JV

    Au début du XVIe siècle en Europe, le vent est au sud, il vient d’Espagne, de Venise, de Florence. Sur ses ailes voyagent les arts, les sciences, les découvertes et de toutes nouvelles façons de manger.

    L'histoire à table - Saveurs des lumières (épisode 4) - Documentaire complet - JV

    Le XIXème siècle invente l’absolutisme qui s’épanouit somptueusement à Versailles. Le siè- cle suivant découvre l’esprit et l’histoire, il est baptisé siècle des Lumières.

    L'histoire à table : La Révolution en cuisine (épisode 5) - Documentaire complet - JV

    En Europe, le XlXème siècle naît dans une terrible odeur de poudre et de sang. La Révolution française a dévoré ses enfants sauf un : Napoléon 1er qui fait trembler les rois. Empire et monarchie puis république et royauté s’affrontent.

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    INSOLITE

    L’Armorial universel contient « les armes des principales maisons, estatz et dignitez des plus considérables royaumes de l'Europe »... corrigé et mis en ordre par C. Segoing, date d'édition :  1654.

    Actu JANVIER 2024Charles Segoing était une figure notable dans le domaine de l’héraldique. Il est connu pour son œuvre « Armorial universel » - en accès public sur Gallica - considérée comme une ressource éducative significative au 18ème siècle, enseignant aux jeunes nobles les rudiments de l’héraldique. Une autre œuvre notable de Segoing est « TRESOR HERALDIQUE ou MERCURE ARMORIAL », qui démontre toutes les choses nécessaires pour acquérir une connaissance parfaite de l’art du blason.

    Parmi les contemporains de Charles Segoing, on trouve notamment Claude-François Menestrier, un autre auteur notable dans le domaine de l’héraldique. Il a écrit « La Philosophie des images », un recueil de devises, et « Nouvelle méthode raisonnée du blason, ou de l’art héraldique » qui a été largement utilisé pour enseigner l’héraldique aux jeunes nobles au 18ème siècle. Un autre contemporain mentionné est Claude Le Cellyer, qui a complété une nouvelle édition de l’Armorial universel de Segoing.

     

    Un ancien impôt sur les chiens en France !

    Saviez-vous qu’entre 1855 et 1971, tous les propriétaires de chiens payaient une taxe à leur commune pour la possession de leur animal !

    La loi du 2 mai 1855 établit en effet une taxe municipale sur les chiens. La raison avancée fut officiellement de lutter contre les chiens errants et le fléau de la rage et de faire baisser la population canine, très élevée au milieu du XIXe siècle en France, mais l’intérêt était également financier. Il s’agissait donc d’une taxe perçue par les communes. Sa perception fut variable selon les départements. Dans le Département des Côtes-du-Nord, deux tarifs s’appliquaient :

    - un premier tarif de 6 francs pour les chiens d’agrément ou servant à la chasse

    - un second tarif de 1,50 francs pour les chiens que nous qualifierions « d’utilité » ; chiens servant à guider les aveugles (eh oui ça existait déjà en 1855), à garder les troupeaux, les habitations, magasins, ateliers, etc…Actu JANVIER 2024

    Les propriétaires de chiens devaient donc faire une déclaration annuelle en mairie, en indiquant la catégorie de leur chien. Autant dire que l’on ne dénombre que rarement des chiens de la catégorie 1, en fait quasiment jamais ! Rares sont ceux en effet qui eurent l’honnêteté de déclarer un chien de chasse ou d’agrément alors que l’on pouvait si bien le déclarer en chiens de garde ! Nos petits chiens actuels ne devant en outre pas être encore à la mode dans nos campagnes !

    On retrouve donc très souvent ces rôles de taxes dans les mairies, depuis longtemps oubliés, mais toujours là dans les greniers. A Saint-Quay-Perros, la collection est lacunaire et ne concerne que les années 1875 à 1919. Justement en 1875, sur une population d’environ 630 habitants, on ne compte que 24 propriétaires de chiens déclarés (tous à 1,50 francs) qui rapportèrent donc la somme de 36 francs à la commune. Et lorsqu’on va regarder les budgets et comptes de la commune en 1876, on note que cette somme représente tout de même 1,56 % des recettes.

    Le rendement de cette taxe sur les chiens a été de plus en plus faible et sa perception de plus en plus difficile. En 1959, dernière fois où l’on note une entrée de recette dans les comptes de la commune de Saint-Quay-Perros, la taxe sur les chiens ne rapporte que 2679 francs, soit 0,037% des recettes ordinaires de la commune. La taxe fut définitivement abrogée 1971.

    La mission à Saint-Quay-Perros est toujours en cours, vous retrouverez bientôt le répertoire des archives classées sur : https://sitearchives.cdg22.fr/repertoires

    Rôles de taxe sur les chiens, 1875-1919, Arch. mun. de Saint-Quay-Perros, cote 1G11. (Source : Page FB Les archives des communes des Côtes d'Armor)

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    RIEN QUE POUR VOS YEUX

    Voici un superbe « coffret de coiffeuse « Meissen » du XIXe siècle. La porcelaine est richement montée en métal doré ainsi que les charmants objets de son intérieur nécessaire.

    Actu JANVIER 2024

    La boîte est peinte tout autour de personnages et de chevaux dans des panneaux de paysage classiques bordés d'or sur un fond blanc hachuré. L'intérieur du couvercle est également peint avec un somptueux panneau figuratif dans des bordures en métal doré gravé entourant un plateau amovible équipé.

    Cet étonnant fût mesure 19,5 cm de large sur 15 cm de profondeur et mesure 9 cm de haut une fois fermé ».

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     ET CE MOIS-CI je vous propose 

    la visite de 2 sites :

    • la Bibliothèque du Congrès, la plus ancienne institution culturelle fédérale des États-Unis servant de branche de recherche au Congrès ; c’est aussi la plus grande bibliothèque du monde, avec plus de 162 millions d’articles. Les collections comprennent des livres, des enregistrements sonores, des films, des photographies, des cartes et des manuscrits.

    • Le blog « La minute du généalogiste » et sa page Facebook : vous ne serez pas déçus !

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    Bonne lecture et belles trouvailles

    Et pour ne rien perdre de toute cette actualité, cliquez sur l’image ci-dessous

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    « Madeleine PELLETIER, une femme avant-gardiste (1874 - 1939)Février 2024 »
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