-
On retrouve parfois dans le passé de nos ancêtres des évènements traumatisants qui nous survivent....
votre commentaire -
L’artisanat de tranchée, ou « Art du Poilu » désigne « une activité de création artistique manuelle et un art populaire pratiqué – entre autres – par tout homme, ayant un rapport direct ou indirect avec le conflit armé ou ses conséquences. Ils sont le plus souvent fabriqués lors des attentes dans les tranchées pour meubler le temps ».
Pour en savoir plus :
Grande Guerre : territoriaux bretons et normands du 87 DIT
Jean Boisserie, l'art des tranchées
votre commentaire -
La petite commune d'Oberhaslach comprend aujourd’hui moins de 2000 habitants ; elle est située dans le département du Bas-Rhin (67), en région Grand Est.
Elle fait partie de la Région culturelle et historique d'Alsace et est le berceau de ma famille Deiber, ma branche paternelle.
Ober-Haslach vient de l’allemand « ober » qui signifie « au dessus de » et de Haslach, ancien nom donné à la rivière montagnarde « la Hasel » qui traverse la petite ville alsacienne.
Il existe très peu d’écrit sur ce petit village ; toutefois il semble renfermer des trésors historiques comme la chapelle St Florent, le château du Nideck, les ruines du Hohenstein et du Ringelstein mais aussi, pas très loin du camp de concentration de Natzweiler-Struthof.
Les oberhaslachois sont catholiques à plus de 96 % et ceci depuis plusieurs générations. J’ai pu en avoir la confirmation en consultant les recensements des AD67, jusqu’en 1819. La population reste très attaché au dialecte alsacien.
IL n’existe pas de recensements entre 1866 et 1880 ; je suis partie du postulat que ma famille avait effectivement quitté Oberhaslach après la guerre de 1870 mais qu’elle y résidait bien avant. Je suis remontée jusqu’en 1819, grâce aux archives départementales du Bas-Rhin numérisées :
Le recensement de 1866 (22 pages) me confirme bien qu'Emile Deiber, le père d'Emile Théophile, mon Agrand-père paternel vivait bien à Oberhaslach.
J'en profite pour relever le nom des frères et soeurs d'Emile et vérifier ainsi l'identité de ses parents : Deiber Nicolas et Klein Marie Anne.
Aucune surprise sur le recensement de 1861 (21 pages) :
Pas plus que sur le recensement de 1856 (20 pages) :
Le recensement de 1851 (38 pages) apporte des précisions et des colonnes supplémentaires ; je sais désormais que mes ancêtres sont d'origine française et de religion catholique.
J'apporte ces précisions car la commune d'Oberhaslach a été détruite à plusieurs reprises, notamment "au l5ème siècle par les Armagnacs et au l7ème siècle par les Suédois). C'est ainsi qu'en 1660 le village ne compta plus qu'une vingtaine d'habitants qui se réfugièrent en forêt. Le repeuplement se fit par des gens venus de la Germanie et de Suisse principalement". De plus, la religion protestante était majoritaire en Allemagne.
Avec le recensement de 1846 (20 pages), on remonte doucement le cours du temps....
Le recensement de 1841 (24 page) offre un nouvelle présentation : désormais apparaissent les noms de rue avec leur numéro par famille et la profession de chaque adulte est mentionnée. Pour le moment, je ne m'attarde que sur la composition familiale. Et je note qu'Emile n'est pas encore arrivé au foyer puisque Nicolas, le grand-père d'Emile Théophile, n'a pas encore fondé de foyer avec Marie Anne.... Nicolas réside au domicile de son frère : pourquoi ? une énigme à résoudre...
Le recensement de 1836 (23 pages) précise que Nicolas, qui habitait déjà chez son frère Antoine, est alors soldat : à vérifier plus tard...
Le recensement de 1819 est très succinct et est écrit en... alsacien ! Les familles sont simplement classées par ordre alphabétique :
Si l'écriture peut sembler élégante et gothique, elle n'est pas très aisée à décrypter.
votre commentaire -
Des plateaux du Chemin des Dames, en passant par les villages disparus et les anciennes cavernes souterraines ayant servi d'abri aux soldats, Histoire de rouler nous entraîne découvrir le secteur, ses superbes routes, et l'ampleur des traces des combats dans la région.
Pour en savoir plus :
Pourquoi le Chemin des Dames ?
Sapigneul, mémoire d'un village disparu
Monument national des chars d'Assaut de Berry-au-Bac
Craonne, village-martyr de la Grande Guerre
Les carrières du Chemin des Dames
Chemin des Dames, sentier des sacrifiés
votre commentaire -
Encore une belle vidéo avec Histoire de rouler : direction l’Argonne, 1914-1918, sur la trace du célèbre bataillon perdu, avec pour support visuel, les images du film.....
Pour en savoir plus :
Le Bataillon perdu - Film complet en français (histoire vraie)
Film d'archive14-18 - De l'Argonne à la Meuse
Bibliothèque numérique mondiale
Première Guerre Mondiale Apocalypse, Episode 03 Enfer HD
Le 30ème bataillon de la 77ème DI US alias "le bataillon perdu"
votre commentaire -
L'origine des guerres franco-allemandes depuis 1870 jusqu'à 1945 avec les conséquences pour les territoires qui ont changé trois fois de patrie et certaines personnes ont changé cinq fois de nationalité ! Les conséquences sur les mentalités des frontaliers et les préjugés des autres.
votre commentaire -
Faire de la généalogie est à la portée de tous, d'autant plus que maintenant la grande majorité des archives départementales est numérisée gratuitement !
Désormais, et jusqu'en 1903 au moins, les états civils, les recensements, les tables décennales sont libre de consultation ; pour les autres archives, il faudra attendre un peu....
Pour ma part, je suis remontée dans mon arbre, un peu avant la Révolution Française ; il me reste toutefois à vérifier chaque information et à écrire une histoire pour chaque génération. Je n'ai pas trop des 20 dernières années qui me reste à vivre !
J'ai retrouvé chaque ancêtre sans bouger de mon fauteuil.... Et ceci, grâce au numérique.
Je surfe sur les réseaux sociaux à la recherche d'informations ; je suis abonnée à de nombreuse newsletters et notamment, celle de "Généalogie Archives et Culture" ; par conséquent, pour ceux et celles qui ne connaissent pas, voici un petite échantillon incontournable :
Toutes les vidéos de Généalogie Archives et Culture (liste complète)
Et après les videos de Mathilde, si vous n'avez pas tout compris, revenez vers moi... Mais ça, je n'y crois pas !
votre commentaire -
Ou « les femmes compagnon de la Libération »
Le 16 novembre 1940, à Brazzaville, le Général de Gaulle créait l’Ordre de la Libération. Six femmes ont été honorées de cette distinction :
- Marie Hackin(1905 – 1941), jeune archéologue devenue volontaire féminine de la France Libre, victime du torpillage de son navire dans l’atlantique ;
- Berty Albrecht (1893 – 1943) qui inspira et anima le mouvement « Combat », morte de sa main, à la prison de Fresnes ;
- Laure Diebolt(1915 – 1965), secrétaire de la délégation générale sous les ordres de Jean Moulin, arrêtée et déportée en Allemagne ;
- Marcelle Henry(1895 – 1945), résistante au sein du Ministère du Travail, morte à son retour en France des suites de sa déportation ;
- Emilienne Moreau-Evrard (1898 – 1971), héroïne de la Première Guerre Mondiale, et important agent de liaison durant la Seconde Guerre ;
- Simone Michel-Levy(1906 – 1945), cadre de la résistance des PTT, assassinée au camp de Flossenbürg.
Un superbe ouvrage collectif qui rend hommage aux femmes de la résistance, des histoires qui illustrent le courage, le dévouement, l’efficacité et la compétence des combattantes… Des histoires qui symbolisent également la diversité des origines sociales et des parcours professionnels.
N’oublions pas non plus nos mères, nos grand-mères, nos sœurs, tantes ou cousines qui ont œuvré dans l’ombre, et dans l’anonymat : qu’il est compliqué de faire « bouillir la marmite » tous les jours pour son « homme » et ses enfants sous le bruits des bottes et des bombes….
De L'Asie à la France Libre Marie & Joseph HACKIN un reportage de Valerio TRUFFA
Les compagnons de l’aube, 18 destins du 18 juin - Portrait n° 10 : Joseph et Maria Hackin
Les femmes, compagnon de la Liberation (conférence)
Une résistante, Simone Michel-Levy - Projet CNRD 2018
Exposition "Femmes en résistance" (2016)
votre commentaire -
Investiguer sur un ancêtre, c'est également s'occuper de ses parents ; avant d'attaquer l'enfance d’Émile Théophile, je me suis intéressée à mes AAgrands-parents :
La 1ère difficulté : rester sur la bonne branche de l'arbre et vérifier que "Émile Deiber" est bien le père d’Émile Théophile Deiber. Vous avez dû, tout comme moi, être confrontés à ce genre de situation : même nom, même prénom (attention toutefois au 2ème prénom !) et surtout génération différente...aïe, il faut tout reprendre...
Il me faudra ensuite rechercher les conditions d'existence des parents d’Émile Théophile : quelles professions ils exerçaient, comment ils gagnaient leur vie, depuis combien de temps ils étaient mariés et leur conditions de fuite d'Oberhaslach vers Reims.
votre commentaire -
Mes recherches sur Emile Théophile DEIBER, mon arrière-grand-père paternel avancent bien. Je bloque encore sur sa date de décès, mais j'ai bon espoir de trouver....
Pour le moment, j'investigue sur ses lieux de vie, et notamment sur Paris ; la rue Broca dans le 5ème arrondissement n'a pas toujours été ce centre attrayant et universitaire ; au début du XXème siècle, les bâtiments étaient sordides, le quartier très pauvre ; on pourrait classer la rue Broca parmi les "insalubres"....au siècle dernier.
Source des images : 41 rue Broca et 32 rue Broca
Ma famille y est pourtant restée de très longues années ; je ne pense pas que cela soit un réel choix... pour sortir de la misère, il faut des générations. N'oublions pas que le père d'Emile Théophile a dû tout quitter "maison et biens" en s'expatriant loin de son Alsace natale. En tout état de cause, Emile Théophile avait logé sa femme et ses enfants dans des appartements pas très reluisants....
Revisiter Paris me permet de revoir les rues où j'ai habitées : la rue des Maraîchers (20ème) et la petite ceinture, la rue Mazagran (10ème) et les grands boulevards.
Autre recherche parallèle : les métiers de la tannerie ; en effet, mon AGP paternel était mégissier-tisseur et mon grand-père paternel a ensuite travaillé le cuir.
Pour en savoir plus :
Paris d'Antan par arrondissement
Photos anciennes du Paris d'Autrefois
*
Autre recherche : les faiseuses d'ange...
Suite à ma lecture Le Rappel du Tambour, ces derniers jours, j'ai trouvé un article intéressant sur Gallica, la bibliothèque numérique de la BNF, via le Mag de la boite à outils généalogique :
Que toute femme choisisse elle-même sa destinée ! Le droit à l'avortement avant la loi Veil
Belles lectures et bonnes recherches !
votre commentaire -
Août 1914. Jeune ouvrière dans la chapellerie de Fismes en Champagne, Antoinette est décidée à se révolter face au patriarcat ancestral.
Insatisfaite, elle l’est !
Elle se sent étriquée dans son travail à l’usine, au milieu « des femmes de 12 à 70 ans qui empilaient les chapeaux melon avant de les ranger dans des caisses », à côté de l’équipe des hommes « qui faisaient corps avec les machines, bielles, rouages, poulies, chaînes, engrenages... tout un univers de vibration, de chocs et de grincements »
Elle est Indignée du sort des femmes de son siècle, résignées au mariage forcé et aux avortements clandestins…..
Affligée au décès de sa mère, Antoinette se destine à devenir infirmière. Elle veut se rendre utile. Elle est résolue à tout faire pour parvenir à ses fins et la grande guerre va lui donner l’occasion de réaliser son rêve…
Dès le début du conflit, Antoinette s’engage dans un hôpital de campagne, là où « les femmes et les jeunes filles qui avaient pris le voile laïque avaient des allures de dames blanches des contes et des légendes (….) qui travaillaient au plus près des bombardements et soignaient sous le feu ennemi des malheureux soldats rongés de vermines, ravagés par le typhus, les fièvres et épuisés par les privations ».
Il y aura des moments de lassitude et de privations, mais jamais de doute même si l’on « fabriquait plus d’obus et de balles que de seringues et de médicaments, plus d’uniformes que de bandages »
Avec ses allures de roman, ce livre nous embarque au cœur des tranchées, crûment, durement, sans langue de bois. Dans l’enfer des obus, l’odeur des chairs brûlées : « les Allemands avaient décidé avec Verdun d’en finir, d’écraser le symbole de la France sous le marteau de Thor ». Mais les soldats n’étaient pas dupes, « ils n’ignoraient pas que ce grand massacre d’hommes et bêtes profitait aux riches industriels de l’armement et aux spéculateurs en tout genre. (…) On parlait à mi-voix de ces choses, du sacrifice inutile imposés à leurs grands-pères par les castes dirigeantes en 1870. »
Les infirmières dans les premiers temps de la guerre de 1914-1918
Grand-gouvernement de Lorraine-et-Barrois
Histoires 14-18 : l'histoire singulière du pont de Fismes
Les inondations défensives de 1914
Archives départementales de Meurthe et Moselle
votre commentaire -
En mémoire de tout les morts de la 1ére guerre mondiale et des révoltés de 1917...
Quand au bout d'huit jours le r'pos terminé
On va reprendre les tranchées,
Notre place est si utile
Que sans nous on prend la pile
Mais c'est bien fini, on en a assez
Personne ne veut plus marcher
Et le cœur bien gros, comm' dans un sanglot
On dit adieu aux civ'lots
Même sans tambours, même sans trompettes
On s'en va là-haut en baissant la tête
- Refrain :
Adieu la vie, adieu l'amour,
Adieu toutes les femmes
C'est bien fini, c'est pour toujours
De cette guerre infâme
C'est à Craonne sur le plateau
Qu'on doit laisser sa peau
Car nous sommes tous condamnés
Nous sommes les sacrifiés
Huit jours de tranchée, huit jours de souffrance
Pourtant on a l'espérance
Que ce soir viendra la r'lève
Que nous attendons sans trêve
Soudain dans la nuit et dans le silence
On voit quelqu'un qui s'avance
C'est un officier de chasseurs à pied
Qui vient pour nous remplacer
Doucement dans l'ombre sous la pluie qui tombe
Les petits chasseurs vont chercher leurs tombes
- RefrainC'est malheureux d'voir sur les grands boulevards
Tous ces gros qui font la foire
Si pour eux la vie est rose
Pour nous c'est pas la même chose
Au lieu d'se cacher tous ces embusqués
F'raient mieux d'monter aux tranchées
Pour défendre leur bien, car nous n'avons rien
Nous autres les pauv' purotins
Tous les camarades sont enterrés là
Pour défendr' les biens de ces messieurs là
- Refrain :
Ceux qu'ont l'pognon, ceux-là r'viendront
Car c'est pour eux qu'on crève
Mais c'est fini, car les trouffions
Vont tous se mettre en grève
Ce s'ra votre tour, messieurs les gros
De monter sur le plateau
Car si vous voulez faire la guerre
Payez-la de votre peauPour en savoir plus :
Les mutineries de 1917, un refus de la guerre « massif et multiforme »
Les mutineries du Chemin des Dames
votre commentaire -
Rodez, 1926. Après trois années d’exil en Uruguay pour perfectionner ses connaissances en tannerie, Mathieu Berthier revient dans l’entreprise familiale aveyronnaise. La disparition subite de son père, Hector, l'oblige à reprendre la direction de la tannerie.
Dans de vieux carnets, l’épouse de Mathieu découvre la « double vie » d’Hector Berthier, un industriel alors qualifié de rigoureux, avisé et intègre.
Commence alors une enquête un peu comme une investigation généalogique. Ce roman nous entraîne au cœur des tanneries aux « odeurs repoussantes d’écharnage et de charogne, d’écorces moulues de chêne et de graisse chaude ».
Certes, si cette histoire n'est que pure invention, encore que, je me suis prise au jeu de rechercher des informations sur les tanneurs et leur dur labeur.
Les métiers insolites du passé
Les tanneurs - Histoire de Paris
Une industrie ancienne liée à l'eau
votre commentaire -
D’après son acte de naissance, Emile Théophile DEIBER, mon arrière grand-père paternel (SOSA 8) est né à Reims (Marne) le 14 avril 1879, à domicile, à 9h30 du matin.
Fils d’Emile DEIBER, 34 ans, tisseur et de Marie Anne OSBRY, 29 ans, sans profession, il a vu le jour dans la maison familiale au 34 rue du mont d’Arène à Reims ; j’ai pu commencer un « début » d’arbre généalogique (ci-dessus).
Il est également précisé sur cet acte de naissance qu’il a été marié 4 fois
- à Mouy, le 23/12/1899 à Marie Clémence DELARUE ; mon AGMP est décédée à 31 ans, le 13/01/1914 à Paris, rue Broca, à son domicile….
- à Paris 5ème, le 15/04/1919 à Noemie Sophie GALZIN, 47 ans ; Emile Théophile, alors veuf, en avait 40 ;
- à Paris 5ème, le 27/02/1937 à Cathalie Marie BELLANGER, à 60 ans ; Emile Théophile en a alors 58 ;
- à Paris 5ème, le 20/08/1949 à Aline Léontine FLOCH ; il a alors 70 ans.
4 fois ! Oui, vous avez bien lu…. J’ai donc voulu en savoir un peu plus sur cet étrange personnage.
Pour écrire l’histoire de mon arrière-grand-père, dont je n’ai jamais entendu parlé auparavant, je me suis inspirée du blog d’Elise Lenoble ; l’écriture passe avant tout par un réel travail de recherche ; il m’a fallu :
1/ mettre en place la trame de sa vie, à partir des éléments « généalogiques » connus à son sujet ; actes de naissance, baptême, mariage et décès...et recensement ;
2/ comprendre l’environnement de sa vie, à partir de recherches sur son métier et ses lieux de vie ; j’ai effectué des recherches sur son métier et sur les conditions de vie à l’époque dans sa région. Et puis découvrir des lectures, des articles glanés sur le web ou dans les bibliothèques, sur son métier, l’histoire locale et l’habitat traditionnel ;
3/ ajouter des « touches de couleur », de la profondeur au récit, à partir d’informations et d’anecdotes glanées au fil de mes recherches. Ce qui le fait vivre !
votre commentaire -
Les 4 tableaux sont désormais en ligne :
- Le tableau d’ascendance de mon GPP Henri Alfred DEIBER : famille DEIBER et la région Grand-Est
- Le tableau d’ascendance de ma GMP Marie Jeanne BEAUJON : famille BEAUJON et la région du Morvan
- Le tableau d’ascendance de mon GPM Klébert HERBEZ : famille HERBEZ et le Nord Pas de Calais
- Le tableau d’ascendance de ma GMM Marguerite CLAVE : famille CLAVE et la région des Landes
.... et si peu de travail accompli en 4 ans ! IL faut dire que je suis partie de "zéro", n'ayant pas ou peu d'information sur ma famille et n'y connaissant absolument rien en généalogie ; j'ai lu, je me suis documentée, j'ai beaucoup appris, j'ai réalisé des tutos pour transmettre mes quelques connaissances.... et vérifier mes sources ; le partage est essentiel en généalogie. On apprend toujours des autres !
Il reste encore de nombreuses cases vides dans ces tableaux : de quoi m'occuper durant les 20 prochaines années !
votre commentaire - Le tableau d’ascendance de mon GPP Henri Alfred DEIBER : famille DEIBER et la région Grand-Est
-
DEIBER est le nom de famille de mon grand-père paternel. Voici le tableau de ses ascendants :
Au vu d'un grand nombre de personnes trouvées sur GENEANET - et dont je n'ai pas encore vérifié toutes les sources - je peux dire qu'une personne de la famille DEIBER a déjà fait son arbre.... Mon père m'avait parlé d'un oncle - je pense au frère de son père "André", et militaire de carrière, si ma mémoire ne me fait pas défaut....
En matière de généalogie, vous avez pu vous rendre compte d'histoires familiales, voire de légendes véhiculées au gré du temps, quelquefois transformées et/ou embellies, pas toujours vérifiées par ailleurs dans les archives départementales.... Quelles satanées archives, on y retrouve bien des choses ! En tout état de cause, mon père m'avait affirmée que notre famille Deiber était originaire d'Alsace ; il m'a fallu remontée jusqu'en 1870 pour le vérifier, et pour cause... triste histoire....
D’après GENEANET, le nom de famille « Deiber » est porté dans le Bas-Rhin et les départements voisins, et devrait, comme Daiber, désigner un éleveur de pigeons (moyen-haut-allemand "tiuber" = pigeon). Autre sens possible : un musicien, celui qui souffle dans un instrument (moyen-haut-allemand "töuber"). Formes similaires : Dauber, Deuber." Curieux ! Mon grand-père paternel jouait d’un instrument à vent : l’accordéon !
Sur le site de Jean TOSTI, les mêmes précisions sont apportées.
D’après GEOPATRONYME.COM, je peux vérifier en effet, que la plus grande partie des « deiber » a trouvé son origine dans le Bas Rhin.
FILAE, quant à lui, précise que « deiber » est un nom de famille d'Alsace Lorraine, et représente une variante de deuber, nom de métier qui désigne un éleveur de pigeons. Tiens, tiens, mon ex, originaire d’Alsace, élevait des pigeons et louait une véritable passion pour ces volatiles. Pour ma part, je n’allais jamais les voir au fond du jardin : je les appréciais plus dans mon assiette avec des petits pois !
1 commentaire -
BEAUJON est le nom de famille de ma grand-mère paternelle. Voici le tableau de ses ascendants :
Trop de cases blanches à remplir : de belles perspectives pour 2021 !
D’après GENEANET, et site de Jean TOSTI, il n’y a aucune signification de ce nom de famille…. Sur ce dernier site j’ai trouvé une explication approchante : « Beaujouan » est composé de l'adjectif "beau" accolé au prénom Jouan (= Jean). C'est dans le Loir-et-Cher qu'il est le plus répandu. Formes voisines : Beaujouen, Beaujouin (cette dernière forme renvoyant plutôt au nom Jouin).
D’après GEOPATRONYME.COM, je peux m’apercevoir que ce nom de famille a trouvé racine essentiellement dans la Creuse et dans l’Allier. Cette région d’Auvergne correspondrait à l’ancien bocage bourbonnais.
La famille de ma grand-mère paternelle est originaire à la fois de la Nièvre (58) et de la Saône et Loire (71) ; difficile de s’y retrouver car, si les villages sont proches, ils n’en sont pas moins séparés par une frontière politico-géographique ; mes recherches s’effectuent donc entre les AD58 et les AD71…. Ce qui m’a permis, dès mes premières investigations, de m’apercevoir que toutes les archives de France étaient bien différentes !
votre commentaire -
HERBEZ est le nom de famille de mon grand-père maternel. Voici le tableau de ses ascendants :
D’après GENEANET, « Derbez » est un nom de famille porté dans les Alpes-de-Haute-Provence, et devrait désigner celui qui est originaire des Herbez, hameau à Méolans-Revel (04).
Pour le site de Jean TOSTI, la famille « Herbez » n’existe pas ! Toutefois, FILAE précise que « Herbez » est une variation régionale nord-est de herbet, forme affective de herbert, nom de personne d'origine germanique issu de heri qui signifie armée et berht qui signifie célèbre, illustre ancien surnom de guerrier. Et la grande majorité de cette famille est originaire du Nord-Pas-de-Calais.
D’après GEOPATRONYME.COM, la famille « Herbez » a trouvé ses origines dans le Nord-Pas de-Calais et semble y avoir résidé encore fort fort longtemps.
*
Mes recherches vont se trouver simplifier car je n'ai que les AD 62 à consulter !.... à moins que mes ancêtres m'aient réservée une surprise en me faisant passer la frontière... allez savoir ! Ce ne serait pas pour ne déplaire de devoir faire des recherches dans d'autres pays....Et par là même d'envisager un voyage généalogique à travers l'Europe.
1 commentaire -
CLAVE est le nom de famille de ma grand-mère maternelle. Voici le tableau de ses ascendants ; vous noterez qu'il manque beaucoup d'informations !
D’après GEOPATRONYME.COM, la famille CLAVE a trouvé ses origines dans les Landes, ce qui est le cas pour ma grand-mère maternelle, puisqu’elle est née à Mont de Marsan.
D’après GENEANET, le nom de famille « Clavier » est porté dans diverses régions (surtout 44, 18, 42), et correspond à un métier ou plutôt une fonction : celui qui était chargé de porter les clés (d'une ville, d'un monastère etc...), un portier. Variantes : Clavié (31, 47, 40), Clavé (40, 64, 31). Il peut s'agir parfois aussi d'un toponyme avec le sens de lieu clôturé.
Le site de Jean TOSTI apporte un éclairage supplémentaire : « Clavet » est porté notamment dans le Tarn-et-Garonne et dans le Gers, semble désigner celui qui est originaire d'une localité appelée (le) Clavet. Dans la région concernée on notera les hameaux de ou du Clavet à Lisle-sur-Tarn (81), à Sieuras (09), à Casseuil et au Pian-sur-Garonne (33). Le toponyme pourrait avoir le sens de petit enclos.
*
Pour les quelques recherches que j'ai commencées à effectuer, mes investigations vont surtout porter sur les AD 40 ; les Landes sont une région que je ne connais pas du tout... peut être un voyage généalogique dans quelques années sera nécessaire !
votre commentaire -
Contemporaines ou héroïnes de la mythologie ou de l’Histoire, les femmes criminelles sont tributaires, à la fois des stéréotypes traditionnels et des changements intervenus dans le domaine du droit. « Sans doute parce que la violence fait sortir les femmes du rôle attendu qui leur est conféré : celui de mère, d'épouse, (…) de porteuse de paix, de fécondité et de douceur », ce livre m’a passionné en tous points.
Au travers de clichés, d’articles de presse, de reportages télévisuels, de miniatures médiévales, d’affiches et autres reproductions, des professionnels dressent un portrait de la « femme criminelle », un portrait qui, au travers du temps, a pu évoluer. Richement documenté, cet ouvrage vaut son pesant d'or et mérite que l'on s'y penche un peu...
*
La femme criminelle par nature ?
Quelque soit le nom qu’on lui donne, « la femme » depuis la nuit des temps, a toujours perturbé : Eve, insatiable et désobéissante, Pandora, symbole de tous les maux de l’Humanité, l’effrayante sorcière, la femme adultère, toujours fautive et source de déshonneur, et bien évidemment, la prostituée...
Pour en savoir plus :
La france criminelle de Henry Joly
Une Histoire de la Prostitution (1er episode : La loi des Hommes)
Une Histoire de la Prostitution (2e episode : Surveiller et punir)
Criminelles mythiques
Parce qu’elles ont enfreint les rôles sociaux que la société leur attribuait, ces femmes ont été diabolisées : si Judith est une criminelle « juste », Marie Lafarge restera la « pathétique martyre d’un acharnement judiciaire ». Et si Violette Nozière a longtemps divisé la société dans l’empoisonnement de ses parents, Marie Besnard garde la figure de la plus grande empoisonneuse du siècle dernier.
Zoom sur l’affaire Marie Lafarge
21 août 1933 : le jour où Violette Nozière empoisonne ses parents
Quand parler d’inceste était intolérante : l’affaire Violette Nozière
France 2 - Documentaire "L'affaire Marie Besnard"
*
Mauvaises mères
La mauvaise mère est la criminelle la plus insaisissable : que l’on évoque Jeanne Weber, l’Ogresse de la Goutte d’or, Rosalie Prudent, l’héroïne d’un roman de Maupassant, ou bien Véronique Courjault, l’affaire des bébés congelés…
Ce chapitre traite également des « faiseuses d’anges », condamnées au regard de la Loi, jusqu’en 1975.
Jeanne Weber, l’ogresse de la Goutte d’Or
À la Une - Le droit à l'avortement à la fin du XIXe siècle
La faiseuse d'anges et l'évolution des pratiques d'avortement
Jeanine, le sordide d'un avortement clandestin avant la loi Veil
Affaire des bébés congelés : Véronique Courjault aux assises
Il est fait ici une distinction entre la mère maltraitante et la mère infanticide en abordant
- les amazones, qui tuaient leurs fils et mutilaient leurs filles
- la « monstrueuse d’Outreau » et le procès de la pédophilie.
*
Geste et instruments du crime
« Depuis l’Antiquité, la représentation du crime féminin est chargée d’une grande violence physique que traverse un imaginaire du carnage, c’est-à-dire un acte sauvage et terrifiant, de chairs déchiquetées et de sang répandu.. » :
- Marie Aubrey, calme meurtrière de son époux, condamné au bûcher en 1687, alors qu’elle raconte son « triste sort d’épouse violentée et bafouée » dès le lendemain de son mariage,
- le massacre incompréhensible des sœurs assassines Christine et Léa Papin,
- Hélène Jegado, l’empoisonneuse en série bretonne,
- Gabrielle Bompard et la malle sanglante
- Madame Kazmareck et la bassine bouillante, victime du harcèlement de son logeur,
- Marie-Elisabeth Cons-Boutboul, la femme aux deux visages, d’un côté une grand-mère aimante et dévouée, de l’autre une affabulatrice et une manipulatrice extrêmement rusée.
Pour en savoir plus :
Les sœurs Papin, récit intégral
Hélène Jégado:une cuisinière presque au-dessus de tout soupçon
Difficile pour les femmes de se faire entendre devant la justice… Cependant, moins souvent arrêtées que les hommes, elles seraient de nos jours plus souvent acquittées qu’eux.
*
Criminelles politiques, pétroleuses, vitrioleuses, terroristes, ces femmes peuvent passer auprès du public pour des héroïnes ; sont citées,
- Catherine de Médicis et le massacre de la Sainte Barthélémy
- La Brinvilliers et la Voisin : « l’affaire des poisons »
- Charlotte Corday : le crime politique de la Révolution
- Sarah Malcolm immortalisée par la peinture
- Ulrike Meinhof et la bande à Baader
- Florence Rey, une anarchiste autonome
- Joelle Aubron, terroriste d’Action directe
*
Saisies par la Loi
En droit, la femme est devenue l’égale de l’homme aujourd’hui. Au travers des époques, l’adultère, la prostitution, l’avortement, l’infanticide ou l’empoisonnement n’ont pas toujours entraîné de peines identiques…
On peut toutefois se réjouir que, de nos jours, femmes et hommes doivent se conformer à la même Loi.
votre commentaire -
5 vidéos sur Verdun et ses environs : de superbes reportages réalisés par un néophyte, et particulièrement bien documentés. J'aime son style, simple, franchouillard, mais toujours emprunt de respect... Je vous invite à vous abonner à Histoire de rouler ; je ne fais pas de moto ( ou alors il y a fort fort longtemps et en tant que passagère !) mais cet abord de l'histoire est hors du commun..
Voici donc, comme dirait l'auteur de ces videos, "des lieux de sacrifice qui forcent le respect"….
Des fortifications mélangées aux chemins de randonnée, voici la voie sacrée, de Bar le Duc au mémorial de Verdun...
Pour en savoir plus :
Exposition Souilly,Quartier Général de la IIe Armée
*
EPISODE 2 : à l'assaut des forts
Des tranchées et des boyaux qui longent la route, des forts, des abris, un paysage ravagé : cap sur le champ de bataille de Verdun, en empruntant 3 routes prises presque au hasard, qui recèlent chacune leur part d'histoire :
- L' ascension vers Douaumont en passant par Froide-terre et les Quatre cheminées,
- Le bois des Caures par le Nord, puis le ravin du Fays,
- la belle route depuis Bras sur Meuse jusqu'à la tranchée des Baïonnettes
Pour en savoir plus :
Le 21 février 1916, au bois des Caures
Fort de Douaumont, Ossuaire, Tranchée Des Baïonnettes
*
EPISODE 3 : les villages disparus
9 villages aujourd’hui disparus…. La violence des combats peut se mesurer au terrain retourné, au champs nu et vide de toute maison, de toute population….Louvemont, Orne, Bezonvaux, Vaux-devant-Damloup, Fleury-devant-Douaumont...
Pour en savoir plus :
Les villages détruits durant la 1ère guerre mondiale
*
EPISODE 4 : la ville souterraine
Des fortifications médiévales, des casernes abandonnées, des kilomètres de souterrains...
Pour en savoir plus :
La citadelle souterraine de Verdun
*
EPISODE 5 : le champ de bataille
Voici l'ossuaire de Douaumont…. "comme une épée plantée dans le sol" ! et le fort de Vaux.
Pour en savoir plus :
L'ossuaire de Douaumont (le site)
votre commentaire -
Du lac de Pierre-Percée en passant par le col du Donon, dans les Vosges, voici une nouvelle video de Histoire de rouler ; seul camp de ce type bâti sur le sol Français, l'ancien camp de concentration de Natzweiler-Struthof reste un lieu sans doute trop méconnu des Français eux-même.
D'ailleurs, avant d'avoir commencé ma généalogie il y a quelques années, j'ignorais tout de ce terrible lieu....
Pour en savoir plus :
Lieux d’histoire, lieux de mémoire
L'enfer des hommes, le camp de concentration de Natzweiler
Un jeune résistant au Struthof
votre commentaire -
Ruines, vestiges, lieux de mémoire: le front des Vosges, lourdement marqué en 14-18 est une source de découvertes incroyables. Je vous propose une vidéo admirablement bien tournée de Histoire de rouler :
Pour en savoir plus :
La Tête des Faux, un champ de bataille oublié
Secteur mémoriel de la Tête des Faux
Les premiers combats autour de la Tête des Faux
votre commentaire -
Un beau jour,
Ou peut-être une nuit
Près d'un lac, je m'étais endormie
Quand soudain, semblant crever le ciel
Et venant de nulle part,
Surgit un aigle noir.
Lentement, les ailes déployées,
Lentement, je le vis tournoyer.
Près de moi, dans un bruissement d'ailes,
Comme tombé du ciel,
L'oiseau vint se poser.
Il avait les yeux couleur rubis
Et des plumes couleur de la nuit.
À son front, brillant de mille feux,L'oiseau roi couronné
Portait un diamant bleu.
De son bec, il a touché ma joue.
Dans ma main, il a glissé son cou.
C'est alors que je l'ai reconnu :
Surgissant du passé,
Il m'était revenu.
Dis l'oiseau, O dis, emmène-moi.
Retournons au pays d'autrefois,
Comme avant, dans mes rêves d'enfant,
Pour cueillir en tremblant
Des étoiles, des étoiles.
Comme avant, dans mes rêves d'enfant,
Comme avant, sur un nuage blanc,
Comme avant, allumer le soleil,Être faiseur de pluie
Et faire des merveilles.
L'aigle noir, dans un bruissement d'ailes
Prit son vol pour regagner le ciel.
Quatre plumes, couleur de la nuit,
Une larme, ou peut-être un rubis.
J'avais froid, il ne me restait rien.
L'oiseau m'avait laissée
Seule avec mon chagrin.
Un beau jour, ou était-ce une nuit
Près d'un lac je m'étais endormie.
Quand soudain, semblant crever le ciel
Et venant de nulle part
Surgit un aigle noir.Source : https://www.paroles.net/Paroles de BARBARA - Musique de BARBARA
votre commentaire -
Nouvelle année, nouvelles résolutions et par conséquent, nouvelle organisation.
Sur GENEANET, j'ai édité 4 tableaux :
- Le tableau d’ascendance de mon GPP Henri Alfred DEIBER : famille DEIBER et la région Grand-Est
- Le tableau d’ascendance de ma GMP Marie Jeanne BEAUJON : famille BEAUJON - BAROIN et la région du Morvan
- Le tableau d’ascendance de mon GPM Klébert HERBEZ : famille HERBEZ et le Nord Pas de Calais
- Le tableau d’ascendance de ma GMM Marguerite CLAVE : famille CLAVE et la région des Landes
Chaque tableau va me permettre de
- faire un bilan de mes recherches,
- ordonner mes investigations,
- classer afin de ne pas faire deux fois la même recherche !
Un nouveau programme pour l'année 2021.... Et vous, quels sont vos objectifs ???
votre commentaire -
Le Tatoueur est un individu qui ne se targue point d’élégance. Il cumule d’ordinaire cette artistique profession avec celle de ramasseur de bout de cigare, de preneur de rats ou de tondeur de chiens , sans compter d’autres occupations moins avouables . On le rencontre à Marseille, sur les ports, à Paris sur les fortifs. On le trouve aussi au voisinage des maisons centrales, à moins qu’il n’y soit admis comme pensionnaire....
Pour en savoir plus :
Historique Police Technique et Scientifique
Où trouver de belles sangsues ?
Bruno, le 1er tatoueur de Paris
Les gangsters parisiens et les tatouages
Le père Rémy, célèbre tatoueur en 1891
Il y a 115 ans, le chef des Apaches est arrêté à Paris
votre commentaire -
La morgue de Paris, telle qu'on ne vous l'a jamais racontée...
Pour en savoir plus :
Mettre les morts en vitrine, l’étrange idée de la morgue de Paris
La basilique et les nécropoles de Saint-Marcel
L’histoire de la MORGUE DE PARIS
La Morgue de Paris : quand on exposait les cadavres en vitrine
votre commentaire -
Un peu d'histoire... sur un ton d'humour....mais richement documentée !
N'hésitez pas à regarder les "sources" à la fin du documentaire
votre commentaire -
Secrets de famille, destins entrelacés et trahisons se succèdent dans ce roman que je qualifierai de « historique et québecois ». La lecture peut en être quelque peu compliquée du fait d’expressions québecoises (mal connues pour ma part donc mal maîtrisées) mais les écrits sont richement documentés. Ce livre est également un merveilleux voyage au cœur de la Mauricie, entre Trois-Rivières, Sainte-Ursule, Louiseville et Contrecœur.
Anne Marie, « la vieille laide », a vu sa vie basculer le jour où Charles l’a rencontrée. L'époque est marquée par de petites touches historiques, qui viennent confirmer l'authenticité du récit ; je me suis prise au jeu et j’ai été tentée de rechercher sur le net des familles qui étaient citées…. Bien que n’ayant aucun ancêtre sur ce continent, (j’ai bien eu un oncle d’Amérique mais il est revenu finir ses jours dans notre Loiret bien-aimé après quelques escapades américaines), j’ai eu envie d’en savoir un peu plus sur cette région du Canada…. Et bien évidemment, j’ai affiné mes investigations par des sites susceptibles d’aider ceux ou celles qui auraient des aïeux au Québec.
Outre une saga familiale à rebondissements, ce roman pose de douloureux questionnements : si l’on ne peut changer le passé, comment l’accepter ? Comment l’appréhender sans être tenté de juger les actes de nos ancêtres….. et comment vivre avec des secrets enfin dévoilés.
Pour en savoir plus :
votre commentaire